Il y a eu cette soirée où Jill m'a convier, je ne refuse jamais une invitation de cette fille, elle est parfois bruyante et agaçante mais entonnement je l'apprécie alors que d'habitude je n'aime pas ce genre de femme qui parle fort et fais ses crises parce que j'ai une égratignure sur le visage mais, d'autres choses ont fait que nous nous sommes tout de suite entendu. Trop bien même, assez pour mettre un certain désordre dans les connaissances de Jill, sur le fond de notre relation. Moi, j'en ai que trop peu qui m'apprécie et surtout je suis là depuis si peu de temps, que je demande comment j'ai fais pour accrocher si rapidement avec cette brunette. Alors oui voilà cette soirée, à mes souvenir il y avait pas mal d'alcool, de nanas complètement déchirées capable de se mettre à poil en pleins milieux de la foule dansante. J'ai sans doute trop bu me laissant entraîner par cette atmosphère de débauche, j'ai même finit par ne plus compter de verres enfilés, et lorsque je suis dans cet état il n'est pas étonnant que j'en finisse aux poings. Je crois ne pas avoir vraiment chercher la bagarre, il y a eu cette fausse blonde qui devait appartenir a quelqu'un d'autre car il ne fut pas heureux d'apprendre qu'elle fricote avec moi. Je n'ai sans doute pas chercher à comprendre et j'ai du même frapper le premier, j'étais dans cet état second où il ne valait mieux ni me toucher ni me parler avec trop de mépris.
Je me souviens de ça et de plus grands choses. J'ai la certitude que je ne suis me suis pas battus qu'une seule fois. Mon corps est si lourd, je suis si fatigué qu'aucun crie puisse me réveiller, je dors dans un sommeil si profond que je ne me réveillerai pas aussi facilement.
« Shin » ceci commence tout d'abord par ce doux murmure, agréable mais insuffisant pour me faire ouvrir un oeil, je dors tellement bien qu'il m'est presque impossible de répondre à cette voix féminine. Je dors que trop bien pour lui offrir mon intention « Héhoo, Shin ! » je finis par montrer mon mécontentement et me retourner voulant continuer ce sommeil paisible. Pourquoi veut elle absolument me réveiller ? Elle ne va pas me soûler longtemps celle-là ? Je souhaite qu'une chose dormir en paix mais elle semble en décider autrement lorsqu'elle retire mon oreiller pour me frapper avec, m'ayant pris en traite je n'ai eu aucun signe de défense, même pas le réflexe de mettre mon bras pour me protéger, elle ne fait que raviver certaines douleurs provenant de mes blessures des précédentes bagarre de cette nuit, je décide d'ouvrir enfin un oeil me doutant alors qu'elle n'allait plus me laisser dormir. Elle arrête ses coups d'oreiller, une chance sinon j'étais près à lui faire bouffer. Un instant je me demande où je suis et ou j'ai dormis, lorsque je vois les traits de Jill quelque peu crispés « Réveille toi espèce de sale larve ! » bordel qu'est ce qu'elle est bruyante de si bon matin, je lâche un soupire regardant où nous nous trouvons de si bon matin, nul doute je suis dans sa chambre, dans son lit...Encore habillés tous les deux, l'hypothèse d'une partie de jambe en l'air est rayée. Elle m'agace, trop bruyante, son air de fille mécontente de si bon matin est énervant. qu'est ce qu'elle me reproche encore ? Elle m'en veut de ne pas l'avoir envoyé au septième ciel ? Non ce n'est pas son genre de me faire la gueule pour une histoire de cul. Elle me connaît assez bien pour savoir qu'il est déconseiller de me réveiller de cette manière. «Putain » grommelai-je dans un soupir, suivant ma parole à un geste je me redresse d'un seul coup dans un élan de colère, elle se retrouve sous moi sans aucune défense. « Tu es trop bruyante tais-toi. » je plaque ma main sur sa bouche tandis que l'autre saisi son poignet dont la main est armée d'un oreiller. Elle m'a réveillé de cette manière où je ne peux que réagir ainsi, violent je le suis mais avec les femmes bien moins, non que je les considères comme des êtres inférieurs, loin de là, c'est juste qu'elles sont plus fragiles et cherchent surtout moins à marquer le territoire. Elle sait que je ne vais pas la frapper ou l'étouffer je ne suis pas de cette violence là, j'aime me battre c'est tout. Et je suis trop impulsif pour pouvoir maîtriser cette réaction. Je retire ma main avant qu'elle ne me la morde et je plante mon regard dans le sien, encore intrigué par le fait que je sois dans sa chambre à dormir comme une gosse de cinq ans. Peut-être m'en veut elle réellement pour ça ? Elle n'avait qu'a me demander si elle souhaitait coucher avec moi, je ne lui dirai pas non. « Tu fais chier! laisse-moi dormir en paix » je me laisse tomber sur le côté, une légère migraine se manifeste, lorsque je passe ma main sur mon visage je sens sous mes doigts les dégâts de la soirée. Fermant les yeux il m'est impossible de retrouver le sommeil, quelle chieuse je dormais si bien et il a fallu qu'elle fasse son emmerdeuse de première, à vouloir m'empêcher de me battre, quelle drôle de blague beaucoup ont essayés et se sont perdus en chemin. Je baille, fixant le plafond essayant de me remémorer quelques faits, juste pour être certain de ne pas l'avoir vexer pour autre chose que d'avoir user des me poings. Je soupire jetant un regard à Jill qui semble toujours autant énervée, je me redresse pour m’asseoir la voir ainsi remontée contre moi m'agace. « Arrête de faire la gueule. » alors que je prononce ses mots, je passe mon bras par dessus son ventre pour prendre appui de l'autre côté, je la regarde amusée. « Tu vas continuer longtemps ? » je me penche légèrement vers elle d'un air amusé. Ma rancune envolée, elle m'avait simplement lever de la mauvaise manière. Mon regard se pause sur elle qui attend sans doute des excuses de ma part mais elle n'en aura pas.

Je ne suis pas de cette humeur à jouer du moins lorsque j'ai ouvert les yeux car mon sommeil a été perturbé par cette petite brunette qui ne trouve que le moyen à tirer une tête de huit mètres de long. Je ne sais pas ce qu'il lui a pris, parfois je me demande si elle n'est pas un peu folle. Je finis par soupirer et revenir vers elle ne pouvant pas la laisser longtemps dans cet état de mécontentement à mon égard. « J'aimerai assez que tu te taises toi aussi. » je lâche un soupire, elle a décidé de me les briser jusqu'à bout. Je lève les yeux au ciel d'un air amusé, elle peut continué à jouer les emmerdeuses, je vais faire celui qui se moque d'elle. Jill finira bien par baisser les armes et oublier la raison pour laquelle elle est dans cette phase d'emmerdeuse. Je sais pourquoi elle fait une tête pareil, elle l'a fait toujours lorsqu'elle remarque mes bleus de mes précédents combats, à chaque fois elle me fait des remarques et fait son caprice de gamine de cinq ans et à chaque fois je me fou de ce qu'elle me dit. Ce n'est suite à quelques grimaces et des mots qui sont censé me faire changer de comportement que je vais le faire. Elle le sait mais me tient tête, quelle bourrique. « Tu t'avises de faire ça encore une fois, je t'assure que tu ne te prendras pas uniquement des coups d'oreillers. » lorsqu'elle articule ses mots je me retiens de lâcher un rire, je n'affiche alors qu'un large sourire amusé, décrédibilisant bien plus ses mots. Et comment si un petit bout de femme comme elle m’effraie. Impossible alors, je continu à la regarder sans aucune crainte alors que le regard qu'elle pose sur moi est loin d'être aussi chaleureux que le mien. Quelle idiote, comme si me regarder de cette manière allait me faire dire des mots d'excuses, je continu alors à la regarder de cette manière qui la décrédibilise quoiqu'elle puisse prononcer comme menace. Elle s’aventure dans un terrain bien miné car même si à cet instant je préfère me moquer d'elle que m'énerver, si elle continu à se montrer aussi casse couille le vent risque de tourner. « Et qu'est ce que tu vas me faire ? Me tapper?  » dis-je en rigolant et la poussant légèrement, qu'est ce qu'elle peut-être idiote, me faire des menaces à moi ? C'est bien plus amusant qu'effrayant. « Si j'avais su je t'aurai fait dormir sur le canapé. Parce qu'en plus tu ronfles. Alors faut pas venir râler pour quelques coups d'oreillers sur la tête, bien mérités vu ton état. » je la regarde d'un air blasé en lâchant un soupire, elle m'agace bien trop pour que je reste impassible.« Qu'est ce que tu es chiante. » soufflai-je en posant un regard peu sympathique sur elle qui semble toujours m'en vouloir car je me suis battus. Ce n'est pas son problème mais le mien, qu'est que cela peut bien lui faire que je passe mon temps à tabasser. « C'est simple si je te dérange tant dis-moi de me barrer, je le ferai. » je retire mon bras n'ayant aucune envie de rentrer dans un tel sujet quelque peu contrariant, vu le regard qu'elle me lance elle va continuer à m'énerver, on va finir par se prendre la tête pour arriver au même point. « Merde Jill tu sais très bien que ça ne sert à rien de parler de ça. » je pose mon regard dans le sien, avant de lâcher un soupir. Elle n'allait pas lâcher l'affaire alors je retire mon bras et me laisse tomber sur le côté. Je fixe le plafond un instant contractant ma mâchoire, me préparant à ce qu'elle allait bien pouvoir articuler pour 'énerver ou argumenter ses propos. Je la regarde un petit instant. « Tu ne préfères pas plutôt qu'on prenne un tranquillement petit-déjeuner ? » j'affiche un léger sourire comme pour me faire pardonner sans pour autant prononcer les mots, je sais simplement que ce genre de sourire attendrit bien des gens qui sont énervés à mon égard. Rare que j'adopte cette technique même si au fond c'est bien plus pour me moquer d'elle et lui montrer que cela ne sert à rien de m'en vouloir pour si peu, c'est ma nature elle ne peut rien y faire, c'est dans mes gènes. Qu'elle perde son temps si elle veut mais je n'ai pas envie de perdre une heure pour entendre la même chose, tous ces gens n'en n'ont pas marre de me ressortir la même chose ? Comme si cela allait me faire changer, j'en rigole d'avance. Ils perdent le temps et me fait perdre le mien, si Jill continue à être aussi chiante je ne vais pas avoir le choix qu'être désagréable même l’ignorer. Je suis user de toujours devoir supporter ses crises de nerf, j'essaye pourtant de comprendre qu'elle soit inquiète à mon égard mais je ne lui ai jamais rien demander.