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I wish I could but I don't always keep the promises I've kept [Zayne & Tess]

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MessageSujet: I wish I could but I don't always keep the promises I've kept [Zayne & Tess] I wish I could but I don't always keep the promises I've kept [Zayne & Tess] Icon_minitimeSam 27 Oct - 16:12

Zayne & Tess
« I can't explain, can't quite put my finger on it, the difference that makes us so different. We've said everything, our words only betrayed us. Nothing is left, nothing was left unsaid. This time I have nothing left to lose. I'm stuck, the second hand won't move. It's about time that I speak my mind, It's about time, about time I find. Pieces of me I have lost without any choice I move on. Hey time, you're no friend of mine »


Une nouvelle journée de travail s'achevait. Samedi soir, presque 18h, heure qui signifiait que mon week-end recommençait. Cette nouvelle me faisait toujours sourire, et représentait une telle source de bonne humeur que le samedi était devenu d'office mon jour préféré. Pourquoi celui-ci et pas un autre ? Ben...Parce que c'était ainsi. N'allons pas y chercher d'explications scientifiques, ça ne servirait à rien. Dehors, la nuit avait commencé à tomber un peu, sans que ce soit pour autant la nuit noire. Ce qui ne tarderait pas...Je n'avais jamais aimé l'hiver. Froid, et franchement déprimant, tellement que je ne pouvais pas profiter de mon temps comme je l'entendais. De ce fait, à cause des journées qui se raccourcissaient, j'avais l'impression qu'il en était de même pour moi. Enfin. Un rapide coup d’œil sur ma montre m'apprit qu'il était temps de finir de classer la pile de livres devant moi, de préférence rapidement, si je voulais partir à l'heure. Je n'étais pas du genre à faire des heures supp' le soir. Et malheureusement, le soir on pouvait s'attendre à tout. Des visiteurs de la bibliothèques coriaces qui demandent des livres, les exigeant au moment même, ou alors mes supérieurs me demandant de rester pour faire un inventaire sur je ne sais quoi. D'un point de vue extérieur, ça faisait parti des choses qui n'arrivaient qu'aux autres. D'un point de vue réaliste, c'était tout le contraire. Du coup je me méfiais, me faisant discrète. Concentrée, je me hâtais de replacer les bouquins à leur place, dans un ordre correct, ne cédant pas à la tentation de ranger le grand bazar des étagères. Les gens étaient vraiment impossible...Une fois la chose faite, j'allais chercher mes affaires, sortant de la bibliothèque avant qu'on me demande de faire la fermeture.

L'air frais sur mon visage me fit l'effet d'une brise glacée, pas tellement désagréable finalement. J'étouffais durant mes journées, enfermées dans une grande pièce à l'odeur de poussière et de vieux livres. Positivement parlant, je n'avais pas tellement à me plaindre, vu que j'avais un boulot qui me permettait de vivre à peu près correctement, tout en m'occupant de ma fille. D'ailleurs, instinctivement, mes pas avaient pris la direction de chez la nounou d'Abby. Là, on arrivait au moment préféré dans ma journée : celui où je retrouvais ma puce. L'instinct maternel sans doutes, mais j'avais du mal à la savoir loin de moi, même si c'était que pour une journée. J'avais confiance en la nounou évidemment, sauf que encore une fois, j'étais toujours anxieuse à l'idée de la confier à quelqu'un que je ne connais pas. Trop mère poule, on pouvait bien m'en faire la réflexion. Vrai que j'étais toujours la première à m'affoler dès le moindre problème, que ce soit un toussotement ou des pleurs inexpliqués. Le pédiatre avait bien essayé de me raisonner, me répétant que je m'en faisais trop, c'était peine perdue. A croire que j'étais une tête de mule en bonne et due forme. Contrairement à certaines mères, j'avais la chance d'avoir une petite la plupart du temps en excellente forme. En tout cas, pour l'instant, Abby était plus occupée à essayer de tenir sur ses deux jambes, ou à parler comme les grands. Elle grandissait bien trop vite à mes yeux. Et j'étais la seule à pouvoir la voir grandir. J'étais seule... J'arrêtais les idées déprimantes.

« Merci Loren, à mardi. » Sourire aux lèvres, je tournais les talons, poussant la poussette d'une Abby qui pour le coup paraissait complètement exténuée. C'était toujours ainsi quand je la récupérais le soir, signe qu'elle chômait pas pendant les journées. Je savais qu'elle était en compagnie de deux autres enfants de son âge chez la nounou, d'où la raison de cette fatigue. Il faut croire que les bébés savaient aussi jouer entre eux à cet âge. Marchant en direction de l'appart', je restais complètement obnubilée par le visage d'ange de la petite, qui semblait peiner à garder les yeux ouverts. Comme pour se tenir éveillée, elle regardait ce qui se passait autour d'elle, les gens qui marchaient, les voitures qui passaient, un chien qui posa un regard curieux sur la poussette. C'était vraiment adorable l'insouciance et la curiosité à cet âge. Puis soudainement, je sortais de mes pensées en percutant quelque chose avec la poussette. Enfin, plutôt quelqu'un en prenant compte de l'expression de surprise qui sortit de la bouche de la jeune femme. « Excusez-m... » Le reste se bloqua douloureusement dans ma gorge quand je reconnus mon interlocutrice. Combien de chance y avait-il pour que je la connaisse ? Pour qu'elle fasse partie des personnes que je redoutais de revoir un jour pour éviter de souffrir de trop ? Que ce soit ma sœur ? Hein ? Les larmes me montèrent aux yeux sans que je puisse l'expliquer. Je me sentais bien faible soudainement. Une inspiration pour me calmer plus tard, je tentais de reprendre contenance. « Zayne...Qu'est-ce que...Qu'est-ce que tu fais là ? » Ma voix tremblait, et ce bien malgré moi. Que quelqu'un me tue sur place, vite...
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MessageSujet: Re: I wish I could but I don't always keep the promises I've kept [Zayne & Tess] I wish I could but I don't always keep the promises I've kept [Zayne & Tess] Icon_minitimeLun 29 Oct - 22:30



I wish I could but I don't always keep the promises I've kept.

C'était la dernière heure. Dans une vingtaine de minutes, la jolie brune serait en week-end, pensé qui la fit sourire.Bien qu'elle aimait ses cours, qui la passionné vraiment, souffler un peu le week-end lui faisait le plus grand bien. Lorsqu'elle vivait toujours à Newcastle, les samedis et dimanche était jour de fêtes, enfin, surtout le samedi soir. Ces soirées, mais surtout ses amis lui manquaient. Les êtres qui, hormis sa famille bien sûr, étaient les plus importants à ses yeux, ils faisaient son bonheur aussi déjanté soit-il. Pensé à eux la rendit nostalgique le temps d'un instant et, c'est alors que la qu'une question lui passa par la tête «Vais-je les revoir un jour ? », elle semblait croire que non, ce qui lui fit monté les larmes aux yeux. Elle les leva au ciel et cligna du plus vite qu'elle le pouvaitdans l'espoir de ne pas craquer ce qui n'avait pas vraiment d'effet. Heureusement pour elle, le sonnerie ce fit entendre, elle rangea rapidement ses affaires et sortie du plus rapidement qu'elle le pu. C'est seulement la qu'elle se laissa aller. Il faisait froid dehors mais, elle ne semblait pas avoir la moindre envie de rentrer, de toute façon, à part continuer de se morfondre, elle n'avait pas grand-chose à faire. C'est donc au starbuck qui se trouvait sur sa route qu'elle décida de s'arrêté.

Elle se mit dans la file, attendant son tour sagement, comme les enfants que l'on fait se placer en file indienne, leur attribuant comme récompense un bonbon, sauf qu'elle c'est un chocolat qu'elle aura, un chocolat qui ne sera malheureusement pas gratuit. Ce fut rapidement son tour, ce qui la réjouie, attendre ce n'était pas vraiment son truc. Elle pris son chocolat, paya puis se retourna, sans vraiment faire attention et boum. « Ma pauvre Zayne, tu n'es vraiment pas douée ! » soupira la jeune fille avant de s'excuser auprès du jeune homme qui venait de recevoir la totalité de son chocolat chaud sur sa jolie petite chemise blanche. Elle prit immédiatement un mouchoir qu'elle avait dans la poche de son manteau, dans l'espoir de limiter les dégâts causés par son infinie maladresse. Le jeune homme lui rigolais, voir s'afférer la jeune fille dans tous les sens pour si peu le faisait sourire, c'était toujours mieux que des cris après tout. « Encore désolée, le pressing est pour moi. Vous n'auriez pas un bout de papier, que je vous note mes coordonnées ? Parce qu'il ne m'est pas vraiment possible de la prendre là tout de suite..» Zayne était gêné son visage vira au rouge-rose, et, c'était comme cela à chaque fois. «Non, ne t'en fait pas, ce n'est qu'une simple chemise.» la petite brune s'apprêtait à ouvrir la bouche afin d'insister mais, son interlocuteur la coupa «N'insiste pas, s'il te plait ! » elle se contenta on d'un léger sourire gêné. Sur ces mots elle reprit la même chose avant de partir, tout en faisant très attention cette fois-ci.

Son précieux chocolat en mains elle sortie et pris la direction de la maison sa cousine, Eve. Le vent lui paraissait plus intense et froid que tout à l'heure, un temps où, le mieux à faire pour ne pas tomber malade est de rester chez soit, dans son lit, emmitoufler sous sa couverture, chauffage à fond ! L'automne était bel et bien présent, chose qui était loin de plaire à Zayne, elle qui était très frileuse, seule l'été lui convenait. C'était d'ailleurs sa saison préfère, comme elle devait être celle de beaucoup d'étudiants, parce que, qui dit été, dit deux mois de vacances et, deux mois de vacances avec une chaleur bien présente et signe de soirées, de sortie, de barbecue, d'après-midi piscine, de bronzage, de plage mais également de grasse matinées, la belle vie quoi ! Zayne fut brutalement sortie de ses pensées par un coup de poussette, « Aie !». « Putain, elle peut pas faire attention elle » pensa la jeune fille qui n'avait même pas encore jeté un oeil à la conductrice de poussette, chose qu'elle fit rapidement dès qu'elle entendit son prénom. « Tess, je.. » Voilà qu'elle fut prise au dépourvu, sa soeur était face à elle, pourtant, elle ne savait que lui dire. Elle baissa les yeux, réfléchissant rapidement à comment formulé sa phrase, lorsqu'elle aperçus une petite fille dans la fameuse poussette. « C'est qui ? »

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MessageSujet: Re: I wish I could but I don't always keep the promises I've kept [Zayne & Tess] I wish I could but I don't always keep the promises I've kept [Zayne & Tess] Icon_minitimeVen 2 Nov - 16:06

Zayne & Tess
« I can't explain, can't quite put my finger on it, the difference that makes us so different. We've said everything, our words only betrayed us. Nothing is left, nothing was left unsaid. This time I have nothing left to lose. I'm stuck, the second hand won't move. It's about time that I speak my mind, It's about time, about time I find. Pieces of me I have lost without any choice I move on. Hey time, you're no friend of mine »


"Aïe". Zayne avait exprimé exactement ce que je ressentais : aïe. Je me sentais soudainement pris au piège, et ça ne me plaisait pas. Dans le fond, j'avais peur de la réaction qu'aurait ma sœur, et surtout de tout ce qui allait suivre. J'étais bien au courant que j'avais un sacré tas d'explications et d'excuses à lui fournir...Mais pour le moment ça semblait compromis, vu la façon dont les mots se bloquaient au fond de ma gorge. C'est vrai quoi...le monde avait toujours été immense, mais semblait se rétrécir dès qu'on préférait ne plus croiser certaines personnes. Quelle probabilité y avait-il pour que je percute ma sœur avec la poussette de ma fille, alors que personne n'était censé savoir où je me trouvais ? Était-ce du hasard ? Ou alors, est-ce que Zayne m'avait cherchée ? Cette idée me faisait froid dans le dos. Si elle arrivait à me trouver, Luke n'aurait sans doute aucun mal à faire de même. Et je refusais de revivre ce qui m'avait détruit il y avait à peine un an. Parce que cette fois-ci, ce qui risquait de se passer, ça serait que ça retombe sur Abby. Si jamais ça arrivait, je ne pourrai jamais plus me le pardonner. Rien qu'y penser me mettait dans une rage noire vis à vis de cet homme qui avait été mon mari. Tout était de sa faute. Dans un coin de ma tête, une part de mon esprit encore rationnelle tentait vainement de me calmer, assurant que ici, il n'y avait que ma sœur et moi. Il n'était pas là. Ça ne servait à rien finalement, je n'étais toujours pas calme.

Pour rajouter un problème de plus, les yeux de la jeune femme avaient dévié sur l'occupante de la poussette, qui pour le coup semblait plus intriguée que fatiguée par cette tension ambiante. « C'est qui ? » Merde. Définitivement merde. J'étais censé expliquer comment ce petit détail ? Enfin, petit détail...Abby était bien plus que ça. Au sein de ma famille, en coupant les ponts, je n'avais pas mentionné ma grossesse à quiconque. Je ne voulais pas rajouter un poids de plus. Sauf que maintenant, j'étais face au fait accompli : je n'avais plus aucune possibilité pour me défiler. Terminé, les échappatoires. J'allais devoir assumer, et de préférence bien, parce que je ne pensais pas m'en sortir avec seulement quelques excuses foireuses. Je ne me sentais pas de revenir sur tous les éléments de ce que je qualifiais le passé, sauf que je n'allais pas avoir le choix. Comme si je ne voyais pas de quoi elle parlait, j'avais maintenant les yeux rivés sur ma fille qui gazouillait gaiement en voyant l'attention fixée sur elle. Comment est-ce que je pouvais bien formuler ça ? ''Ah oui, j'avais oublié de te prévenir, tu es tata, félicitations ! Tu veux être la marraine?'' Non, pas vraiment ça. Il faudrait déjà que je commence par admettre qu'elle avait eu raison sur toute la ligne concernant mon ex-mari, et ça, c'était difficile. Pour ma fierté mal placée, pour moi, pour notre bonne entente qui avait viré au vinaigre par ma faute. Je n'avais jamais voulu la blesser ou quoique ce soit, mais c'est ce que j'avais fait de façon grandiose d'ailleurs. Je me détestais d'avoir agi ainsi en résumé.

Finalement je soupirais, me rendant compte que si je restais encore quelques secondes sans parler, j'allais finir par sembler vraiment stupide. D'une voix lasse, je fis les présentations tant attendues. Ou pas. « Zayne, je te présente Abby. Abby, Zayne... » Je me mordillais la lèvre, hésitant à continuer sur ma lancée. Juste parler de ma fille, ça ne suffirait sans doute pas à justifier ma conduite exécrable de ces trois dernières années, et j'en étais bien consciente. Nerveusement, je passais une main dans mes cheveux, alors que l'autre dansait la polka sur la poussette. « Ecoute...Je crois que je te dois des explications. Et des excuses aussi. Mais je risque d'en avoir pour un bout de temps alors...Si tu as du temps devant toi, j'habite à deux minutes d'ici. Ce sera peut-être mieux pour discuter qu'ici, dans la rue. » Cela représentait déjà un effort pour moi d'oser vouloir l'inviter dans mon appartement, qui, il fallait bien le rappeler, se situait dans l'un des quartiers les moins bien fréquentés de San Francisco. De ce fait, les moins chers. Moi qui durant trois ans, m'était habituée au luxe, j'étais vraiment tombée bien bas. Le pire, c'est que c'était bien fait pour moi.
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MessageSujet: Re: I wish I could but I don't always keep the promises I've kept [Zayne & Tess] I wish I could but I don't always keep the promises I've kept [Zayne & Tess] Icon_minitime

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