Sortie en mer pleine de promesses.

Le soleil était à peine levé quand Kieran arriva à la marina de San Francisco, aujourd’hui, il partait en mer, non pas pour son travail, mais pour son plaisir. En effet, il avait décidé de partir en mer avec Dylann, une de ses amies et même un peu plus que cela, même s’il ne l’avouerait pas. Il n’était pas encore prêt à la voir autrement que comme une bonne amie, mais plus ils se côtoyaient, plus il avait qu’une envie c’était l’a voir encore plus. C’était pour cela que la semaine dernière en la croissant par hasard, il avait lancé son invitation, invitation qu’elle avait accepté à sa plus grande surprise, mais aussi à son plus grand bonheur. Il s’imaginait déjà des scènes dans son esprit, mais il fallait qu’il évite d’aller trop loin. Secouant la tête, Kieran descendit de sa voiture pour aller vers son bateau, un petit voilier sans prétention qu’il avait acheté en Nouvelle-Zélande et avec qui il avait fait la traversé en venant s’installé à San Francisco. C’était son petit bijou à lui, il aimait ce bateau comme on aime… une femme, bon il exagérait là, mais c’était son bijou à lui. Le temps promettait d’être radieux aujourd’hui et c’est pourquoi le sauveteur avait choisi de s’habillé de façon relax. Un short coloré, un t-shirt rouge et des tongs. Sans oublié, les lunettes visés sur le nez.

Une fois à bord, il déchargea les sacs de nourritures et de boisson qu’il avait amené pour la journée, ainsi que d’autres matériaux qui pourrait être utile. Une fois tout prêt, le jeune homme alla s’installé à l’avant du bateau, assis, il leva le nez et profita du calme du début de matinée. La ville était encore à moitié en dormis et seuls les lèves-tôt étaient sur le pont. Le jeune homme aimait cette tranquillité, dans des moments comme cela, il se croyait chez lui, en Nouvelle-Zélande, son esprit divagua vers le pays qu’il avait laissé et surtout vers les gens qu’il avait laissé là-bas. Ils lui manquaient, mais il avait fait un choix et il s’y tiendrait et puis ici, il avait rencontré des personnes qui aujourd’hui étaient importantes pour lui.