JILIANE & JULIAN
“You can't undo anything you've already done, but you can face up to it. You can tell the truth. You can seek forgiveness.”

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Avoir une date de péremption, y a pas à dire, cela à tendance à vous faire remettre les choses en perspectives, du genre réellement en perspective. Et surtout soyons lucides, ca vous donne l'occasion de faire le bilan de toutes ses choses que vous avez foiré magistralement dans votre vie. Tout le mal que vous avez, toutes les blessures que vous avez infligés à des personnes auquel vous teniez. Alors j'avais mis mon orgueil de côté, j'avais sorti la carte avec le numéro de téléphone que Jiliane m'avait glissé à la fin de notre précédente entrevue - Juste au cas où ... M'avait elle glissé, avec cette tristesse au fond des yeux, cette certitude que je ne m'en servirais jamais. Et je ne l'aurais probablement jamais fait si les choses n'avaient pas changés si radicalement, si je n'avais pas découvert cette maladie de coeur. Le karma est une salope qui vient vous mordre au cul quand vous vous attendez le moins. Et puis, si je devais vraiment crevé, alors je voulais qu'elle sache la vérité, qu'elle comprenne quelle avait été une femme remarquable, qu'elle m'avait aidé à croire au bonheur, je voulais arrêter de lui mentir pour lui permettre d'allerfinalement de l'avant une fois pour toutes. Faire le deuil de la relation ignoble que je lui avais imposé.

Alors voilà pourquoi je l'avais contacté bien malgré moi, j'avais eu la chance de tomber sur son répondeur, j'avais laissé un message court, juste une adresse, une heure et je laissais le destin et surtout elle de décider si elle était prêt à m'octroyer cette entrevue. Je ne le méritais probablement pas, et j'en avais conscience. Voilà comment je me retrouvais assis dans ce café, jetant un furtif coup d'oeil à ma montre, et plus nerveux que jamais. C'était pas souvent que je faisais des excuses, ou que je cherchais à justifier mon comportement mais Jiliane n'était pas tout le monde, et même si je l'avais quitté, il était une fois y a longtemps, je le savais mieux que quiconque, elle avait été le seul être que j'avais réellement aimé. Et on oublie pas ce genre de choses, même quand on est moi, qu'on est stupide, borné et prêt à tout pour voir les autres vous fuir. Je sirotais un café que j'avais commandé, et je relevais les yeux à chaque fois que j'entendais la sonnerie de la porte d'entrée. Quand je l'aperçu, je laissais un souffle franchir mes lèvres, je ne m'étais même pas aperçu que je retenais ma respiration de peur de ne pas la voir venir à ce rendez vous.

Je me redressais, prêt à me lever mais je me stopper, qu'est-ce que j'allais faire la serrer dans mes bras. Non, ce n'était pas vraiment mon genre. J'arborais une petite moue de réflexion, je ne savais pas par quel bout prendre ? Et oh mon dieu, j'attendais la remarque banale et si classique du qu'est-ce qui se passe t'es malade ? Oui, c'est ce qu'on dit à quelqu'un quand il se comporte différemment et je ne pourrais probablement pas stopper le rire jaune de franchir mes lèvres. Oui, je comprenais mieux que jamais le sens de cette expression. Malheureusement. Je relevais les yeux sur elle, quand elle s'assit, face à moi, son visage neutre de toute expression et sur ses gardes, j'admettais que je pouvais comprendre après notre dernière rencontre. - Hey ... merci d'être venue. Je lui offrais une pauvre contrefaçon d'un sourire, avant de jouer nerveusement avec l'anse de ma tasse. - Je sais que tu dois probablement te demander pourquoi je t'ai fais venir ... Ah ah rire nerveux montrant mon malaise, et subitement je me disais que c'était peut être stupide mais je me rappelais qu'elle méritait l'effort que je mettes mon orgueil de côté.

JULIAN & JILIANE

" Quand l'inquiétude prend la place de la rancoeur... "

« Hey ... merci d'être venue. » J'acquiesçais. Pas de quoi. Me disais-je dans ma tête tandis que je posais mes mains sur la table, les joignant en le regardant lui. Nerveux ? «  Je sais que tu dois probablement te demander pourquoi je t'ai fais venir ... » Bel et bien nerveux ! Banco ! Il a le tiercé gagnant. Évidemment que je me demandais pourquoi il m'avait fait venir. Encore et encore. Ou plutôt le temps du trajet après avoir décidé de lui accorder ce rendez-vous. Le moment où j'ai entendu son message ? Je me le suis aussi demandée. Surprise ? Non, pas tellement. J'aurais très bien pu me demander où il avait eu mon téléphone si je ne le lui avais pas donné à notre dernière... entrevue. Qui disons-le m'avait beaucoup trop rappelé les mauvais souvenirs mais aussi rappelé une partie plus ou moins heureuse qu'était le début de notre relation. Mais c'était le passé et sitôt rentrée chez moi, j'avais fait une chose : appelé ma mère pour lui parler de tout ça. Lui expliquant bien entendu qu'il ne fallait rien dire au paternel, ce qui était disons-le assez facile à deviner. Surtout pour elle. Elle sait ce qui nous lie mon père et moi : rien ; et c'est surement ce qui fait que les secrets dans ma famille, ça va bon train. Donc une fois que je m'étais calmée ce jour là grâce à ma mère qui avait été mon seul vrai parent tout au long de mon existence, l'autre étant qu'un abruti qui avait fait en sorte que je sois conçue et qui avait été l'homme à abattre... délicatement sans armes mais à force de le rendre fou, ce qui était vraiment dur à faire. J'avais tiré un trait sur lui, même si au départ je m'étais également dit que c'était sur toute mon ancienne vie que je tirais un trait. Résultat : j'appelais ma mère pour me calmer et je prennais des nouvelles pour me distraire. Jiji, tu exagères ! M'étais-je dis après avoir raccroché en soufflant un bon coup.

Voilà ce qui s'était passé suite à notre dernière entrevue. La première depuis... qu'il m'avait lachement abandonné. Je lui en voulais pour ça ? Surement. Mais on m'avait appris qu'on ne pouvait pas retenir l'eau donc pourquoi espérer retenir un homme ? Et surtout celui-là ! Ma vie était dorénavant stable. Enfin nous allons le tourner comme ça. J'étais célibataire et plus ou moins fière de l'être. Ou carrément fière même ! J'avais le boulot de journaliste que je voulais et pour finir je suis loin de ma bête noire, donc que pouvais-je espérer d'autres ? Sérieusement je crois aussi que revoir Julian faisait pencher la balance dans laquelle je me situais vers la non-stabilité vu le passé qu'il me rappelait, mais par respect pour ce que nous avions vécu ensemble, en omettant bien sur la fin de notre relation, je me devais d'être là. Parce que je connaissais assez Julian pour savoir qu'il était tétu et surtout qu'il ne m'aurait jamais appelé si c'était pas important. L'égo masculine peut-être ? Non, juste sa personnalité de merde que j'avais réussi à aimer. Et ouais ça craint, je vous le fais pas dire.

Quoiqu'il en soit, il m'avait fallu deux trois minutes à l'extérieur du café à regarder mon ex-mari depuis le trottoir pour rentrer dans l'établissement. Qu'est-ce que je risquais après tout en rentrant ? Qu'on me brise le coeur ? C'était déjà fait. Suivant ! Qu'il se montre con et vraiment très méchant ? ça je saurais y faire face. Après avoir fait un bons nombre de questions j'avais finalement compris que quoiqu'il se passe, je m'attendais déjà au pire, donc bon... Je me retrouvais dorénavant sur mes gardes, face à mon ex-mari carrément bizarre. Et que devais-je dire ? Mis à part la vérité bien sur. « J'avoue que je me pose évidemment cette question. Surtout suite à notre ancienne entrevue. » avais-je lâché de but en blanc. Rien ne transparaissait dans ma voix. J'avais fait ce qu'il fallait pour ne pas pleuré, ou plutôt j'espérais que ma barrière faite pour ce moment. « Je peux donc te poser cette question ? Savoir que me vaut ton appel et ce terrain neutre et où on fournit ce qui pourrait te valoir une brulure ? » C'était clairement tentant. Lui envoyer un café sur son tee-shirt ça pourrait l'être si je venais à être une garce. Il était clairement évident que je n'en serais pas capable. Même avec quelqu'un qui m'avait fait souffrir comme lui, je ne pouvais pas être aussi... méchante. Mais je ne comprenais pas le pourquoi du comment. J'avais su dés l'instant où je lui avais donné mon numéro qu'il ne l'utiliserait pas : bien trop fier l'ex-mari et vu notre passé commun, c'était le mieux à faire de ne plus se revoir. Je ne me comprenais plus. Tantôt j'avais envie de revoir mon ex mari, cet homme que j'avais aimé, tantôt je me demandais si c'était le connard que je verrais, celui que j'avais du gifler il y a quelques temps de cela. « Il est clair que ce n'est pas pour voir mon joli petit minois et mon oseille donc forcément... je sais pas. J'attends que tu m'expliques tes raisons, parce que je ne vois pas en quoi tu veux me revoir. » Là c'était bon, j'arrêtais de parler pour attendre la réponse. Réponse qui avait intérêt à venir, sinon je commande un café et toute négociation ou autre ce sera mort. Je le regardais dorénavant avec insistance et envie de comprendre. J'étais parée à tout de toute façon...

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JILIANE & JULIAN
“You can't undo anything you've already done, but you can face up to it. You can tell the truth. You can seek forgiveness.”

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J'étais mal à l'aise, parce que je savais que j'avais besoin de m'excuser auprès d'elle, elle avait tant fait pour moi, et jamais je n'avais su lui rendre mais en même temps, les mots n'avaient jamais été mon fort, mon sarcasme, un automatisme que je m'efforçais tant bien que mal de combattre mais je n'y parvenais qu'avec difficulté. Mais là, qui sait combien de temps il me restait et je ne voulais nullement perdre du temps à prétendre. Je l'avais blessé, je lui avais fait mal et si il y avait bien une personne à laquelle je voulais présenté des excuses, c'était mon ex femme, la seule personne que j'étais parvenu à aimer un tant soit peu sincèrement. Peut être parce que j'étais plus jeune et plus naïf, peut être parce qu'elle avait été présente à mes côtés dans une période difficile. En tous les cas, je savais que je ne pouvais pas me défiler malgré mon appréhension. - J'avoue que je me pose évidemment cette question. Surtout suite à notre ancienne entrevue. Je faisais une légère grimace, vu les horreurs que je lui avais balancé à la figure, tellement surpris et désemparé de cette rencontre fortuite. - Je peux donc te poser cette question ? Savoir que me vaut ton appel et ce terrain neutre et où on fournit ce qui pourrait te valoir une brulure ? J'esquissais un sourire pâle, reconnaissant le caractère féroce de Jiliane, c'était une des choses pour lesquels, elle m'avait séduite, elle pouvait se montrer particulièrement déterminé et forte, malgré ses dessous fragile. - Il est clair que ce n'est pas pour voir mon joli petit minois et mon oseille donc forcément... je sais pas. J'attends que tu m'expliques tes raisons, parce que je ne vois pas en quoi tu veux me revoir.

Ma tasse semblait avoir un contenu des plus fascinants, et mon regard y semblait encré pour l'éternité, je ne pouvais juste pas la regarder dans les yeux, j'avais eu assez de moments de faiblesses, bon à me perturber à vie, la nuit où j'avais appris que j'avais une échéance au dessus de la tête. Je grattais ma nuque dans un tic nerveux avant de commencer, hésitant " Je ... Je voulais te voir pour ... " Aller dit le, excuse toi, Julian. Ca doit pas être bien compliqué des gens, le font à longueur de temps, à longueur d'année. Les trois quart ne sont même pas sincères quand ils disent ces trois petit mots et tu l'es toi. Tu sais qu'elle mérite ça. Je reposais mon regard sur elle, scrutant son visage pour la moindre expression, m'indiquant comment tout cela serait pris. J'avais besoin de savoir que je pourrais faire amende honorable, pour de bon, et non qu'elle me pardonne, juste par simple habitude. Après tout, quand nous étions mariés, elle passait son temps à le faire, et même si je ne m'excusais jamais vraiment pour les erreurs que je commettais, ou mes disparitions subites. Je me rendais maintenant plus que jamais compte de la vie que je lui avais fait mené, et elle ne m'avait jamais quitté, c'était moi qui l'avait abandonné. Seule, et bouleversé.

" Si je t'ai demandé de venir, la vérité, c'est parce que je voulais m'excuser. " Je marquais une pause encore fier de moi, d'avoir pu dire ses moments que j'avais rarement prononcé avec autant de sincérité, mais il fallait que je poursuives avant de me dégonfler, ou de laisser une occasion à Jiliane, une occasion de m'interrompre qui je le savais me couperais dans mon courage momentanée " Et pas que pour notre rencontre de l'autre jour, mais pour ce que j'ai pu te faire subir lorsque nous étions mariés, ou la façon dont je t'ai quitté du jour au lendemain. C'était injuste pour toi, j'ai toujours pensé que je faisais cela pour rendre service aux gens, mais la vérité, c'est que je suis lâche, et que la fuite est plus simple que d'affronter mes problèmes " Je me stoppais sidéré d'en avoir autant dit, et qu'aucun de ses mots ne soient un sarcasme venimeux. Je me demandais comment elle allait réagir, si elle verrait ma sincérité ou si elle croirait que je me moques d'elle. Je n'allais probablement pas lui dire pour ma maladie, parce que je ne voulais pas que les gens aient pitié de moi, mais j'avais fait au moins ce que j'avais à faire, je m'étais excusée, c'était une bonne chose non ? Je me mordais la lèvre, et j'espèrais qu'elle ne devienne pas trop curieuse, parce que je n'étais pas sur de pouvoir supporter des questions embarrassantes qui me mettrait si mal à l'aise que je risquais probablement de mort.

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JULIAN & JILIANE

" Quand l'inquiétude prend la place de la rancoeur... "

Je ne comprenais définitivement pas pourquoi cet appel. Lui qui aurait pu parfaitement ne pas me rappeler, oublier ou bien même jeter mon numéro de téléphone. Le perdre dans un immeuble en flamme aurait été la super bonne excuse pour s'en débarrasser, mais non, il l'avait gardé et le plus étrange c'est sans nul doute qu'il s'en est servi. Décrocher le téléphone, composer le numéro et me proposer ça avait du lui faire un mal de chien. Et bizarrement, je savais qu'il ne l'aurait pas fait juste par envie de me voir, je le connaissais suffisamment ou plutôt je l'avais assez bien connu par le passé pour savoir que quelque chose était caché sous la façade et qu'il ne l'aurait pas fait si ce n'était pas important. Or avec Julian il y avait une chose que je savais : ce qui était important, vu la vie qu'il a eu et vu les circonstances de notre rencontre, je ne pouvais qu'avoir peur. Me montrer si féroce et si neutre était-il le masque que je tentais de lui arborer ? Oui, c'était ça. Ça avait toujours été celui là. Du plus loin que je m'en souvienne, c'était un de mes moyens de protection. Le meilleur mais aussi le pire. Parce que je savais que le jour où j'aurais vraiment besoin d'être méchante, je ne serais pas sure d'y parvenir. Avec lui, c'était sur, je n'y arriverais pas, bien qu'il le méritait à fond.

Cependant, je n'étais certainement pas venue pour le voir avoir une discussion imaginaire avec sa tasse ou bien être la seule à regarder l'autre dans les yeux. Il avait les couilles de parler, alors pourquoi ne les aurait-il pas pour me regarder droit dans les yeux ? Il avait peur que je le bouffe ou quoi ? Je ne le reconnaissais pas à cet instant précis. Il me donnait cette impression d'être la plus forte des deux, d'être celle susceptible de lui en coller une à tout moment ce qui était... tout à fait possible quand on y pense. Nerveux, mon ex mari était nerveux. Le monde à l'envers ! « Je ... Je voulais te voir pour ... » Il hésitait en plus ? Oh mon Dieu, ça craint à fond cette rencontre, je craignais le pire. Oui, c'était bel et bien ça. Pour moi voir mon ex mari comme ça était quelque peu traumatisant, je savais qu'il n'avait pas la langue dans sa poche, il me l'avait encore prouvé la dernière fois mais là... là il avait du mal. J'attendais toujours de comprendre le pourquoi du comment. Si bien que quand il me regarda dans les yeux, je pensais à l'intérieur de moi « God save the Queen. » Pourquoi ? Me le demandez pas, c'est sur le coup... Mes pensées et moi c'était... toute une histoire.

« Si je t'ai demandé de venir, la vérité, c'est parce que je voulais m'excuser. » Bam !! J'en tombais des nus. Il est certain que je n'en revenais pas, que jamais ou très peu. A vrai dire je ne m'en rappelais plus, auparavant je ne me rappelais plus l'avoir déjà entendu me présenter des excuses. Bizarre peut-être ou bien son égo de mal je n'en sais rien, mais je m'apprêtais à applaudir quand je revis ses lèvres s'apprêter à bouger. Waouh... « Et pas que pour notre rencontre de l'autre jour, mais pour ce que j'ai pu te faire subir lorsque nous étions mariés, ou la façon dont je t'ai quitté du jour au lendemain. C'était injuste pour toi, j'ai toujours pensé que je faisais cela pour rendre service aux gens, mais la vérité, c'est que je suis lâche, et que la fuite est plus simple que d'affronter mes problèmes » Je l'avais écouté, comme avalant chaque parole pour y chercher le moindre sarcasme, le moindre foutage de gueule, mais pour une fois, il était sérieux... Je le trouvais aussi sérieux et sincère que... moi et mes sentiments envers lui. Déconcertant. Vraiment trop déconcertant pour ma petite personne. Je finis par commander un verre au barman, une vodka bien fraiche me ferait du bien et probablement pas aussi, mais j'en avais besoin ! En l'attendant, je me retournais vers mon ex-mari, troublée à fond et touchant ses lèvres avec le bout de mes doigts, je lui demandais d'arrêter. « Stop, arrête de te bouffer les lèvres, c'est moi qui l'a toujours fait de nous deux. » Et pour sur ! Finalement je rabaissais ma main le regardant toujours. « Je sais pas quoi te dire Julian. Pour être sincère quand je t'ai vu là m'attendre, j'ai cru que tu allais me faire souffrir par ta méchanceté... Je m'attendais pas à des excuses. Pourquoi tu as le don de me déconcerter ? Sincèrement tu te joues de moi ou je ne te connais finalement pas autant que je le croyais ? » Je soufflais. Non, je savais pas. « Je sais pas... Je pense que je te pardonne cependant. » Lui dis-je tout de même.

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