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| La drogue c'est mal (pv: kendall f. hudson) | |
| Auteur | Message |
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Sarah Unknown
❣ Messages : 25 ❣ Date de naissance : 08/04/1992 ❣ Date d'inscription : 03/06/2013 ❣ Age : 32 ❣ Âge du perso : 16 ❣ Occupation : lecture, imagination ❣ Humeur : changeante
| Sujet: La drogue c'est mal (pv: kendall f. hudson) Mer 5 Juin - 22:34 | |
| La drogue c'est mal Sarah M. Unknown et Kendall F. Hudson « Putain, je t'ai dit que je faisais pas de prix, enflure. » « Juste pour une fois, allez, tu sais que j'vais pas m'casser comme un con, allez, déconne pas, t'peux m'faire confiance, tu l'sais, pas beaucoup, juste vingt dollars en moins, j't'en rends quarante la prochaine fois, j'te jure, allez, j'te jure. Rend moi ma cam petite voleuse... Non jve dire s'il te plait fait pas de bêtise... » « Te faire confiance ?! T'es taré ?! Qui me dit que tu vas pas crever sur le bord de la route dans la nuit ? Nan, je ne fais pas confiance aux junkies, encore moins aux pourritures comme toi. » Un blond aux cheveux crades s'agitait, dans un appart' quelconque, à côté de Sarah. Il était en manque, ça se sentait, ça se voyait. Il puait l'addiction, le vide, les pertes d'esprits. L'absence de drogue lui rongeait l'esprit autant que le corps, pauvre esclave d'une poudre, d'une injection, d'une pilule. Sale victime du système, de la course, des combats, de la richesse ou de la pauvreté. Son identité avait peu d'importance. S'il ne pouvait pas payer, il restait dans la merde. Sarah se foutait bien qu'il crève devant elle. Il était tout autant accro que tous ses clients. Ce doux poison était sa seule issue, la seule pommade à glisser sur une cicatrice qu'il n'avait pas. L'amertume de ne pas assez vivre l'avait poussé dans le vice, dans la mise à l'écart. Sarah n'était pas comme les autres, et ne voulait pas l'être. Elle ne voulait pas inspirer la pitié, et encore moins en avoir. Ainsi, alors que l'autre drogué chialait presque à ses côtés, elle savait rester impassible. Son regard impavide se posa sur le blond alors qu'il s'approchait salement d’elle. Sarah se décala, lui crachant au visage. « Approche-moi et tu reverras jamais ta came, enfoiré. Tu me paieras pas avec ça. » L'autre ragea, blessé, humilié. Il savait que s'il répondait, il n'aurait rien. Il savait moins, par contre, que même s'il se taisait, il n'aurait rien. Pas de rabais. C'était comme ça. Sarah ne faiblissait pas, ne lâchait pas. Ils pouvaient se battre, se lacérer devant ses yeux, cela n'avait pas d'importance. Tout ce qu'elle voulait, c'était l'argent. Elle était la vendeuse, elle décidait. Le client n'était pas roi, mais victime. Point. Même si d’un certain point de vue cette fameuse cam Sarah la lui avait volé pour justement lui soutiré de l’argent, elle en avait tellement besoin. Sarah quitta l'appartement crade de celui qui était un de ses gars dangereux qui revende de la cam mais ça Sarah ne le savait pas. Elle claqua la porte sous d'autres supplications sans importance. Elle avait gâché sa soirée pour un connard pas capable de payer sa dose, et cela l'énervait. Elle remonta les rues jusqu'à chez elle ou du moins ce qui y ressembler une maison abandonner en ingurgitant cette drogue pour essayer et surtout pour ne pas avoir fait tout cela pour rien. Un, deux, trois, quatre. Les marches, sous ses pieds. Un, deux. Le nombre de personnes qu'il croise. Ving-et-une, vingt-deux. Le nombre de marches sous ses pieds. Quinze, quatorze, treize, douze. Le nombre de secondes avant que la drogue ne se glisse dans son corps. Trois, deux, un. Penché sur sa table basse poussiéreuse, elle aspire le rail de cocaïne. Zéro. Elle retomba contre le canapé troué. Enfin. Quelques instants. Tic tac tic tac tic tac. L'agresseur toucha son cerveau. Doux poison qui se répandaient dans ses veines. Son sang devait être bien plus blanc, empli de flocons d'une neige dévastatrice qui venait lui bercer l'esprit.
Boum. Elle se releva, en plein délire, et quitta son squat. De l'air, du frais, de la musique, de l'alcool, des mecs, de l'air, du calme, le silence, de la musique. Bordel terriblement joyeux dans sa tête. Tout résonnait, tout vibrait, tout tremblait. Elle arpentait les rues, presque heureuse d'être là. Parce qu'elle n'avait nulle part d'autre où aller, parce qu'elle n'avait nulle part où être. My oh my. La musique l'arrêta. Elle se posa contre le mur d'un bar, les paupières mi-closes, profitant juste. Boum boum boum. Et puis les basses s'arrêtèrent, laissant place aux cris lancinant des aigus. Elle frissonnait, elle tremblait, elle était loin, elle était là. Chaque retour avec le réel l'explosait sur le bitume de San Francisco, et pourtant, elle ne bougeait pas, là, appuyé contre son mur trop blanc, trop noir, trop coloré. Elle se détestait d'être là, de se sentir mal. Dieu qu'elle se sentait bien. Elle riait, elle était mort de rire, elle n'en pouvait plus, elle en perdait le souffle, et pourtant, son visage restait neutre, là, affrontant le vent de la région. Sarah voyait tout, les yeux fermés, elle ressentait tout. Elle savait qu'il était au-dessus, de lui, d'elle, d'eux, elle sentait le pouvoir l'emporter, comme elle l'avait toujours voulu. La cocaïne la renversait, lui offrant tout ce dont elle avait besoin. La seule différence qu'elle avait avec les junkies qui la payaient était qu'elle ne souffrait jamais de manque car c’est sa première fois. Dans sa tête, elle brisa une vitre. Jamais. En réalité, elle ne se déplaça pas d'un millimètre. Elle ne connaissait pas l'attente, elle avait la drogue qu'elle voulait, quand elle la voulait en la volant. Et elle était de meilleure qualité. Une idée lui traversa l’esprit de se mettre à en prendre régulièrement.
Elle frémit et se vit rire d'un éclat quasiment satanique, repensant au nombre de soirées qu'elle avait passées à voler les substances et à les revendre. La plus pure qu'elle pouvait avoir lui était réservée à partir d’aujourd’hui. Et elle n'était que pour les moments spéciaux. Elle rit de plus belle, toujours dans son esprit. Connard. Elle avait le contrôle. C'était une de ces nouvelles qu'elle croisa en quittant l’avenue principal du quartier. Alors qu'elle allait pénétrer dans une ruelle, elle était rentré dans quelqu'un. Elle s'arrêta. Pas de pardon. Son regard se posa sur celle qui avait semblé être là sans bouger. Une blonde. Belle. Jeune. Pas plus qu’elle. Perturbée. Droguée ? Les yeux clairs. Hypnotisant. Qui était-elle pour oser sortir après le couvre-feu ? Les cheveux dorés. Bordel. Son esprit drogué s'imagina un instant la prenant contre le mur, là, elle victime, lui exerçant tout le pouvoir qu'elle savait prendre. Mais elle se reprit. Chut. Elle l'observa et sourit, naturellement, ou presque. C'était ce sourire qu'elle offrait à toutes les filles, à tous les naïfs, à tous ceux qui voulaient bien le croire. A tous ceux qui voyaient en elle encore un ange. « Tu cherches quelque chose ? ». Phrase réflexe, pour engager la conversation, pour avoir l'air avenante. Et puis elle était là, sans bouger. Elle força le sourire, encore. Doucement, ses yeux se posèrent sur elle. Dans l'obscurité de la nuit, elle saisit comme elle le pouvait les traits de son visage. Ils étaient doux. Elle était belle. Une blonde. Parfaite. Parfaite. Une cigarette sembla s'écraser sur son esprit. Elle la savait. Elle savait les formes qu'elle détaillait. Elle savait l'odeur qui n'avait comme jamais changé. Mais depuis quand ? Où ? Une victime de sa cleptomanie ? Elle se serait souvenu. Doux relents de désir, dans l'intégralité du corps de Sarah. Elle la connaissait, elle avait déjà ressenti ça. Il n'y avait pas de doute. Une blonde parfaite. C'était en elle. Ce regard. En avait-elle beaucoup désiré ainsi ? La question lui brûlait les lèvres, presque autant que son envie de l'embrasser. Bordel de merde. Jamais leurs lèvres ne s'étaient rencontrées, elle aurait pu le jurer. Qui était-elle ? « On se connait ? ». Un poids de moins sur son esprit léger, ses pupilles dilatées se fixant fermement sur la blonde aux yeux clairs. Océan. Elle frémit. Poison.
Il y avait quelque chose dans la clarté de sa peau, dans la lueur de ses yeux, quelque chose qui réveillait en elle de sales souvenirs, des souvenirs délicieux. Elle était belle, c’en était dérangeant. Trop d’envie, trop d’accomplissement. Ces deux tâches pâles qui le fixaient, qui ne bougeaient plus. Avait-elle l’air désespérée ? Pas vraiment. Alors pourquoi l’entendait-elle la supplier ? Pourquoi était-elle immobile, alors qu’elle la voyait intenable ? Non, elle n’avait aucune raison de se débattre. Pas maintenant. Elle semblait gênée, elle ne comprenait pas, elle ne comprenait plus. Sarah défoncé, Sarah enivré, Sarah emporté. Et cette odeur sucrée qui n’aurait su changer. Mais changer depuis quand ? Quand l’avait-elle vue avant ? La belle inconnue vint casser ses pensées, et, dans un bordel invraisemblable, les ranima de la même flamme. Ses mots lui affirmaient que non, elles ne s’étaient jamais rencontrés auparavant ; sa voix lui hurlait que oui, Sarah la connaissait. Bien, trop bien. Beaucoup trop bien. C’était sale, c’était parfait. Elle avait eu le pouvoir, un jour. Elle l’entendait encore gémir, elle sentait encore son souffle se perdre, sa respiration se bloquer. En un coup de vent, elle disparut. Non, elle ne voulait pas la rattraper. Cette sensation était nouvelle. Elle ne l’avait jamais laissé là.
Deux certitudes : leurs lèvres ne s’étaient jamais touchées, et elle n’avait jamais eu l’occasion de lui faire dos de cette manière. Au loin, elle entendait ses pas résonner. Elle les savait. C’était détestable. C’était euphorique. Coupable. Avec plaisir, mais de quoi ? Réflexe. Ses jambes la démangent, en un instant, elle quitta la ruelle et fit demi-tour. Elle devait la suivre. Automatisme. C’était ce qu’elle devait faire, ce qu’elle avait toujours fait. Rester dans son ombre. Et la regarder marcher. Doucement, elle se rapprocha, la laissant garder de l’avance. La route défilait sous leurs pieds, elle bousculait les gens qui restaient immobiles. Elle était assez près pour sentir son odeur. Secret. Ne pas se faire voir. C’était sa place.
Que lui avait-elle fait ? Pourquoi se sentait-elle si puissante à ses côtés ? A quel point avait-elle dû se soumettre à elle pour pouvoir lui procurer autant de bien-être ? S’était-ellel joué d’elle comme d’un inconnue ? Lui avait-elle fait découvrir la ville ? Ou menti pendant de longs jours, de longues semaines – putain de plaisir, bien trop grand -, des mois alors ? L’avait-elle trainée dans la merde, rendue inoffensive ? Alors pourquoi s’en était-elle détaché ? Et pourquoi l’odeur dont l’inconnue était imprégnée la rendait-elle si euphorique, si coupable ? Pourquoi ne pouvait-elle arrêter de la suivre – la suivre - ? Silhouette fine, silhouette fuyante, qu’elle aurait devinée, qu’elle aurait pu redessiner les yeux fermés. Elle marchait, elle avançait, elle partait, Sarah la suivait. Habitude. Bordel dans son cerveau, bordel dans sa tête, putain de cocaïne, marchait-elle droit ? Impossible de remettre son nom, pourquoi son visage était-il si net ? Elle la voyait souffrir, elle la voyait crever, un peu, mais d’où venait-elle ? D’où ces images survenaient-elles ? Et cette démarche, et ces pas. Elle connaissait cette place de traqueur, elle savait cette manière de l’observer. Elle s’était déjà nourri d’elle de cette façon, mais pourquoi ? L’avait-elle laissée se détruire devant elle, sans ne rien faire ? Etait-ce dans ces conditions qu’elle avait déjà entendu sa voix étonnamment douce ? Presque aussi claire que ses cheveux, que cette cascade blonde parfaite qui entourait son visage fin. Elle avait les traits d’un ange, les traits qu’on veut salir. Lentement, Sarah la suivait, ménageant son esprit drogué. Oui, elle l’avait déjà salie. Oui, elle l’avait déjà suivie. Mais où ?
Elle devait savoir. Boum boum boum. Musique des clubs à côté. Boum boum boum. Chaos dans son corps. Elle avance, plus vite, ses pieds foulent le bitume dans un vacarme épouvantable. Silence. Un homme lui attrape le bras, il la retourne pour lui faire face. Bordel. Vite Sarah se cacha derrière un mur à l’ écart pour observer la scène. Celle que l’homme avait touchée. – Il fit un pas pour se rapprocher. Plusieurs autre mecs vinrent rejoindre le premier et entourèrent cette femme blonde qui semblait leur demander quelque chose, Sarah poussa un petit cris sans même le faire exprès encore un effet de la drogue sans doute quoi qu’il en soit un homme vint de derrière elle en la soulevant en la traitant de sale petite fouineuse. Le pire était surement à venir…
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: La drogue c'est mal (pv: kendall f. hudson) Ven 7 Juin - 16:57 | |
| Sarah & Kendall Depuis qu’Aidan était venu me dire pour la menace planant sur ma tête, j’avais plus ou moins repris du service. Le jour même, j’avais été voir ce cher Alex pour savoir s’il était au courant de quelque chose mais il ne l’était pas. J’avais refusé qu’il active ses contacts, me doutant que si la personne derrière la menace était de la CIA, elle serait de suite au courant que je la traquais. Malgré cet échec, j’avais pus obtenir de l’aide en activant mon ancien réseau de contact. Ceux-là même qui m’ont permis de trouver et de tuer les assassins de mes parents. Cela faisait des mois que je suivais des pistes menant nulle part et cela commençait à m’énerver. Malgré tout, je n’en parlais pas à Aidan, je ne voulais pas l’inquiéter encore plus qu’il ne l’était. Il savait que j’étais capable de me défendre mais cela ne l’empêchait pas de craindre que je disparaisse définitivement de sa vie. Ha Aidan, si seulement tu savais à quel point tu me manquais pour réfléchir à ma place.
En tout cas, la matinée n’avait rien d’exceptionnelle, elle ressemblait à toutes les autres, à ceci près que j’avais signé le bail pour un local où installer mon futur bureau de détective privé. En fait, ce n’est qu’au milieu de l’après-midi que le quotidien auquel je m’étais habituée se modifia. J’avais reçu un sms d’un de mes contacts me disant qu’à Frisco, quelqu’un avait des informations pour moi et que j’avais rendez-vous dans la soirée avec cette personne. Je me voyais déjà compter les heures avant le rendez-vous, tournant comme un lion en cage. Afin de me préparer au mieux et aussi pour me parer à faire face à n’importe quelle situation, j’avais démonté et nettoyé entièrement mon 9mm semi automatique. Ce petit bijou était intraçable et à part Aidan qui en avait appris l’existence à son débarquement chez moi, personne ne savait que je possédais une telle arme.
A l’heure du rendez-vous, je me retrouvais dans une chambre miteuse en compagnie d’un mec ayant sensiblement mon âge. Je voyais bien qu’il était du genre à vouloir le beurre et l’argent du beurre mais je l’avais vite calmé et rapidement, il me donnait les infos que je désirais. Je pris l’enveloppe qu’il me tendait et lu le mot de mon contact qui me disait qu’il lui avait semblé plus prudent d’agir ainsi, en incluant une tierce personne qui ne le relierait pas à moi. C’était malin de sa part et les infos qu’il avait recueillies étaient des plus concluants. Je glissais l’enveloppe dans mon sac avant de sortir, marchant dans les rues du quartier de Bayview. Je pouvais détonner dans ce quartier, mais je savais que j’étais bien plus dangereuse que les petites frappes qui sévissaient ici. Ma voiture étant garée dans un autre endroit, je m’y rendais, prête à faire part à Aidan de ma découverte stupéfiante, quand une jeune fille me percuta. C’était une de ces nombreuses gamines paumées qui trainaient dans le quartier, une gamine que j’aurais pus devenir si le destin n’avait pas fait assassiner mes parents et sortie de la misère du quartier pauvre de Miami où je vivais alors. Sa question me fit sourire intérieurement. - Je te remercie mais je n’ai pas besoin d’aide. Je me surprenais moi-même à être si sociable dans ma réponse. Peut-être parce que cette gamine me renvoyait à l’image de celle que j’aurais pus être. En tout cas, quand elle me demanda si on se connaissait, je fus réellement surprise. J’étais presque gênée de lui répondre. Je ne la connaissais pas mais comment lui dire qu’elle renvoyait une image de ce que j’aurais pus être si… Non désolée. J’offris un mince sourire à la gamine avant de continuer mon chemin. Je sentais qu’on me suivait et j’en avais eu la confirmation en voyant la silhouette de la gamine dans le rétroviseur d’une voiture. Elle n’avait pas l’air méchante, juste paumée, c’était pour cette raison que je ne l’avais pas menacé avec mon arme que je sentais au creux de mes reins. De toute façon, j’étais bientôt arrivée à ma voiture et elle n’aurait plus à me suivre comme elle le faisait. Je dépassais la dernière ruelle sombre avant de retrouver ma voiture quand une main m’agrippa le bras et me retourna. Je me retrouvais face à un mec d’une trentaine d’année bientôt rejoint par ses potes. Je roulais des yeux avant de regarder celui qui semblait être le meneur. J’allais ouvrir la bouche pour parler quand un cri déchira la nuit. Merde, la gamine. Je regardais dans la direction d’où provenait le bruit et la vit, soulevée par un autre homme. - Dis à ton chien de garde de lâcher la gamine. Mon ton était froid, mon regard glacial. Le meneur éclata d’un rire sans joie. Et pourquoi je ferais ça ? Parce que tu l’as gentiment demandé ? Rapidement, je glissais ma main dans mon dos et en sorti l’arme qui y étais dissimuler avant de la pointer sur lui. Oui et aussi parce que je pourrais transformer ton corps en passoire. Après c’est toi qui voit. Je souriais mauvais avant de jeter un coup d’œil sur les autres hommes présents. Et vous je vous conseille de jeter les armes et de ne plus bouger après sinon la morgue verra ses frigos remplis de vos cadavres. J’entendis plus que je ne vis les armes tomber sur le sol.
©RubyMoon
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