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Il était quinze heures, le soleil brillait paisiblement au dessus de la ville de San Francisco. Les habitants y étaient heureux et sereins. Une bombe explosa en plein centre ville, aucun survivants. Le monde entier a le souffle coupé en attendant des nouvelles de San Francisco, cette ville connu pour ses années soixantes ainsi que ses hippies en tout genre.. Adieu ville de mes rêves.

Bippppp biiiippppppp bippppppp..

Guiliana se reveilla en sursaut. Son premier réflexe fut de regarder par la fênetre. Quelques rayons de soleil troublaient la pénombre de cette chambre. Elle était en vie. Quel rêve étrange pensa-t-elle.. mais elle n'y pensa que quelques secondes, quelques secondes avant de se rendre compte qu'elle ressentait un manque. Ses doigts manucurés attrapèrent un demi joint qu'elle avait à moitié fumé hier soir, car elle avait du mal à dormir. Comme tout les soirs. Tout en recrachant une fumée épaisse, elle ferma les yeux. Elle se sentait bien, l'odeur de la marijuana la mettait de bonne humeur. Aujourd'hui sera une bonne journée. Encore quelques minutes de répit et elle se rendit compte qu'elle avait cours aujourd'hui. Ses yeux se dirigérent sur l'écran de son réveil. 8h. Son cours commençait dans trente minutes. Tanpis se dit-elle, je trouverais une excuse, j'irais au deuxiéme cours, celui-ci est plus important.

Environ une heure plus tard, Guiliana sortit de chez elle, et attrapa le premier taxi qu'elle vit. Elle n'était pas d'humeur à prendre les transports en communs. Se soir peut-être, elle changera d'avis. Tout en piannotant sur son smartphone, elle alluma une cigarette. "Mademoiselle, il est interdit de fumer dans mon taxi. Merci." Elle jetta sa cigarette par la fenêtre. Elle était énérvée, trés énérvée. Quelle sale journée!

Elle ne donna aucun pourboire au conducteur du taxi. Elle ne l'aimait pas, pourquoi lui donner se plaisir? Guiliana se depêcha d'entrer dans le Hall de l'université, elle cherchait déséspérement une excuse moi le retard de se matin, elle ne vit pas la jeune femme qui passait devant elle. Celle-ci s'excusa. Guiliana posa ses yeux sur cette femme, et des souvenirs profonds défila dans sa tête. Ce n'était pas possible. Vraiment pas, Hannah.. "Hannah?! C'est bien toi? Que fait tu là? Je.. Je ne savais pas que tu étais à San Fransisco. Encore moins dans mon université.."

Je m’y étais prise à deux fois pour être certaine d’avoir bien vu et surtout bien identifier la personne que je venais de bousculer sans le vouloir. Et apparemment oui il s’agissait bien de Guiliana . Je vais essayer de tout de même vous précisez, en fait c’est tout simple , Il y a quelques temps déjà , lorsque j’étais encore au lycée, un de mes professeurs avait organisé un système de correspondance, je ne me rappelais plus trop le but premier de cette expérience mais j’avais vraiment adorée, de plus la personne en question qui était devenue ma correspondance était vraiment sympathique . De là est née un amitié entre nous bien que des milliers de kilomètres nous séparaient étant donné qu’elle vivait au Brésil et moi en Nouvelle-Zélande. Nous avions même échangés des photographies, et nous parlions de tout comme de véritable amies en somme. Alors la voir ici me faisait vraiment tout drôle. D’ailleurs elle sembla tout aussi surprise, normal après tout, et elle déclara alors << Hannah?! C'est bien toi? Que fait tu là? Je.. Je ne savais pas que tu étais à San Francisco. Encore moins dans mon université… >> Je souris puis répondit « Et oui c’est bien moi ! Je me suis installée ici depuis peu de temps en fait. Mais moins non plus je ne savais pas que tu étais à San Francisco , tu es ici depuis longtemps !?»J’étais vraiment heureuse de la voir ici, il est vrai que depuis quelques mois nous étions un peu moins en contacte mais si nous avions déménagés toutes les deux c’est tout à fait normal en fin de compte. J’ajouta alors « Je suis contente de te voir, je me sens moins seule d’un coup » Bah oui c'est vrai, je ne conaissais encore pas grand monde ici étant donné que j'étais nouvelle, en plus dès que les genss avent que vous venez d'un autre pays ils vous prennent vraiment pour une étrangère. Mais peu importe.