Un nouveau rendez-vous était programmé, un nouveau moment dans les bras d’un homme que je ne connaissais que trop bien, un habitué.. Bien plus que ça en fait, c’était étrange, j’avais cette impression que pour lui payer n’était pas ce qui comptait, qu’il cherchait autre chose. Fallait avouer qu’il était plutôt beau garçon, il avait ce charisme et cette puissance que peu ont. Il était rare que je le remarque mais à force de passer du temps avec lui, à coucher avec lui serait plus pertinent à dire, j’avais parfois l’envie d’en savoir un peu plus mais il y avait une chose que je ne voulais pas entendre de sa part c’était le fait qu’il pouvait avoir des sentiments pour moi. Comment pouvait-on aimé quelqu’un qui s’envoie en l’air à longueur de temps car c’est son métier, car il l’a décidé que pour lui ce qu’il fallait c’était le payer pour prendre son pied. Pour qui l’amour n’avait aucune signification cela ne voulait rien dire du tout, c’était un mot qu’on écrivait parfois sur une page blanche pour faire plaisir à quelqu’un mais au fond que signifier ce mot pas grand-chose, un dégout de se retrouver seul dans le futur, voilà ce que cela signifier et personnellement je n’avais pas peur de me retrouver seul et surtout de vieillir seul, c’est ce que j’avais toujours connu au fond donc mourir seul ne me faisait pas peur et puis je n’étais pas seul puisqu’il y avait mon ami imaginaire.

On s’était donné rendez-vous dans une chambre de l’hôtel triton, une chambre assez spacieuse et luxueuse, peu importer l’endroit j’y trouvais mon compte mais aujourd’hui on avait opté pour du classique, ça ne faisait pas de mal au fond. Je m’étais rendu avec un peu d’avance, l’attendant devant la fenêtre, je ne savais pas s’il allait être à l’heure ou non, de toute façon le résultat serait le même, on finirait au lit. J’allais dans la salle de bain pour passer un peu d’eau sur le visage avant de retirer ma chemise qui était légèrement mouillée. Je la posais sur une chaise pour la faire sécher avant d’entendre frapper, je me dirigeais vers la porte pour l’ouvrir avant de me pousser légèrement le laissant entrer « Salut ! Val’ » Je vins à lui sourire avant de fermer la porte et de le suivre dans la chambre glissant mes mains dans mes poches tout en l’observant, il dégageait toujours ce petit truc incontrôlable. Machinalement, je m’avançais vers lui glissant une main sur ses fesses avant de venir face à lui plongeant mon regard dans le sien « Alors tu veux quoi mon beau aujourd’hui, comme d’habitude ? » Je m’approchais un peu plus de lui glissant une main sur sa taille avant de venir poser mes lèvres sur les siennes, échangeant un baiser digne des plus grands ballets tellement que nos langues s’entremêlaient un peu plus rapidement par moment pour revenir dans une lenteur douce et exquise. Je me reculais lentement de lui tout en le regardant dans les yeux.

Je le lâchais avant de faire quelques pas dans la chambre venant m’assoir sur le lit posant mes mains dessus continuant à l’observer. Je ne pouvais nier qu’il était magnifique et j’étais sûr qu’il en faisait craquer plus d’un alors pourquoi venait-il me voir réellement, pourquoi ressentait-il le besoin de me posséder tout autant que je le possède. Tout ça était bien mystérieux.

Ce matin je m'étais levé avec une envie de voir Lando, pourquoi lui d'ailleurs? Bon et puis pourquoi pas... Il était vrai que j'appréciais énormément ce bel homme, un peu trop à son goût mais bon, tant que je pouvais l'avoir pour moi juste une nuit cela me satisfaisait amplement. Malheureusement c'était peine perdue avec Lando, je savais dès la première fois où je l'ai vu qu'aucune histoire ne pourrait naître en nous, bon quand j'y pensais ça me fendait un peu le coeur, mais au moment venu je ne pensais presque plus à ça, il faut profiter des meilleurs moments, sinon j'allais tout gâcher, ce serait bien dommage. Sur-ce il ne suffit que d'un coup de téléphone pour prendre rendez-vous avec Lando, on se voyait dans plus d'une heure, ça me laissait largement le temps d'aller prendre un petit truc à manger, de me doucher et enfin de peaufiner les détails, un peu de gel dans les cheveux, un ou deux psitt de parfum et le look vestimentaire qui à la personne, c'est-à-dire un jean genre délavé, un T-Shirt simple avec un col en V et une chaine avec un pendentif. Je pris un taxi pour se rendre à l'hôtel Triton, cet hôtel était de loin mon préféré, j'avais vécu tellement de nuits avec des garçons, même des filles dans presque toutes les chambres et suites de cet hôtel. Mais ce moment-là j'allais le passer avec lui.

Devant la porte de la chambre de l'hôtel, je pris une grande respiration, tout mon corps était entièrement détendu, ou presque... Il ne fallût pas beaucoup de temps à Lando avant de m'ouvrir la porte, sa voix me fît presque fondre sur place. Une fois notre baiser achevé j'étais dèja sur une autre planète voire plus loin si cela existe. Je buvis ses paroles pour être franc. Je le vîs aller vers la chambre, il s'assit ensuite sur le lit, je n'avais qu'une envie c'était le rejoindre au plus vite. Comme tu préfères, avec toi tout me va! Peut être qu'il n'allait pas apprécier ces paroles, pas grave, je décida de lui faire oublier mes paroles, pour cela je me pencha un peu pour être à la hauteur de Lando. Je lui rendît également le baiser qu'il m'avait donné quelques minutes auparavant tout en me penchant de plus en plus sur lui. J'étais désormais entièrement sur lui. La tension sexuelle était palpable entre nous, en même temps si on ne profite pas de notre jeunesse c'est qu'on a raté sa vie, c'est pourquoi je me donnais à fond dans tout ce que j'entreprenais, y compris le sexe, j'ai d'ailleurs remarqué un truc, plus on faisait l'amour plus on se sentait puissant, alors autant pas se priver. Mais le problème c'est qu'il me plaisait beaucoup trop, je savais que si un jour j'abordais avec lui ce sujet, qu'est l'attirance entre deux êtres, il allait me dire qu'il ne veut pas s'engager... Je connais ce discours, mais je ne peux m'empêcher de me dire que j'ai une chance, même si quand j'y réfléchis sérieusement je me dis que je peux me mettre le doigt dans l'oeil jusqu'au coude. Sinon nous nous embrassons toujours, moi toujours sur lui à faire glisser mes mains un peu partout sur son magnifique corps qu'il devait suremement entretenir. Je m'assis sur lui afin d'enlever mon T-Shirt et le jeter quelque part dans un coin de la chambre, je fît pareil avec celui de Lando, qui pris la même direction que le miens. Je recommencais ensuite de plus belle à l'embrasser. Je me faisais du mal, je le savais, mais je continuais quand même. Entre deux embrassade je pûs glisser quelques paroles -Tu ne peux pas savoir à quel point j'adore être avec toi Et de nouveau nos embrassades reprirent de plus belle

Pourquoi avec lui tout pouvait-être simple mais aussi compliquer pourtant je pouvais avouer qu’il était l’un des rare avec qui je prenais vraiment du plaisir à coucher avec, pourtant il y en avait des personnes qui passaient dans mon lit ou dans un lit avec moi mais certaines personnes avaient plus d’impact que d’autres je me retrouvais devant lui assis sur ce lit qui allait devoir subir l’assaut de nos deux corps en pleine action. Je venais de lui demander ce qu’il voulait, du moins s’il voulait comme d’habitude, à force de le voir, je savais ce qu’il aimait et ce qu’il n’aimait pas. Je vins à soupirer légèrement à sa réponse, je savais très bien ce que tout ça pouvait signifier, je n’étais pas bête mais là je ne sais pas je sentais qu’il y avait un truc… Je ne pus lui répondre qu’il se pencha rapidement pour venir m’embrasser, je répondais à son baiser tout en glissant mes mains dans son dos, le laissant prendre les devants en m’allongeant sur le lit sans pour autant le lâcher, j’aimais ce contact même si au fond c’était mon métier. Je le regardais se redresser, tout en posant mes mains sur ses cuisses, le désir montait de plus en plus ça se ressentait comme tout ce qu’il allait se passer. Je me mordis la lèvre alors qu’il retirait son t-shirt qui se retrouva rapidement sur le sol. Je le suivis du regard avant de lever les bras lorsqu’il vint à retirer le mien avant de reprendre une nouvelle fois mes lèvres pour un baiser ou le jeu en valait la chandelle. J’écoutais une nouvelle fois ses paroles avant de lever les yeux au ciel.

« Arrête tes conneries Val’, je ne suis qu’un coup de plus pour toi » je ne pouvais lui en vouloir de dire au fond il était l’un des rares ou j’aimais vraiment coucher avec… même si je ne savais pas vraiment à quel jeu il voulait jouer alors voilà que je répondais une nouvelle fois à ses baisers se faisant de plus en plus passionnés et sauvages. Je glissais une jambe au-dessus de lui avant de le faire basculer pour me retrouver sur lui, me redressant légèrement tout en plongeant mon regard dans le sien. « Alors dis-moi mon beau, tu as pas une envie particulière, n’oublies pas que je suis là pour toi, au fond tu me payes pour ça… » Je vins à m’assoir sur lui tout en lui caressant le torse pour venir glisser mes mains sur sa ceinture, l’ouvrant et déboutonnant le bouton de son jean sans le lâcher du regard. Cet homme avait le don de me faire comprendre certaines choses mais je ne voulais rien de plus, ça c’était ma vie et rien d’autre n’allait changer, je ne voulais rien de plus. Je me repenchais une nouvelle fois venant l’embrasser une nouvelle fois avec fougue, mélangeant une nouvelle fois nos langues pour une bataille des plus sauvages avant que je vienne l’embrasser dans le cou, puis lui mordiller le lobe d’oreille tout en faisant glisser une de mes mains à l’intérieur de son pantalon, venant caresser son antre du plaisir au-dessus de son dessous.

Je mis fin au baiser avant de replonger mon regard dans le sien tout en souriant, au fond dans un sens c’était assez flatteur… mais je ne devais pas me dire, ça voulait dire que je commençais à avoir de la moralité et ce n’était pas le cas. « Humm… Je suis sûr que tu as une idée bien précise… » Je vins à sourire avant de reprendre ses lèvres tout en continuant de le caresser…

Même si je m'attaché très facilement aux gens, ce n'était pas pour autant que je ne prenais pas de plaisir à coucher avec des mecs, qui ne serait bien sur que des histoires sans lendemain. Mais malheureusement avec Lando ce n'était pas pareil, pourquoi avec lui d'ailleurs, les sentiments humains sont vraiment beaucoup trop compliqués. Si je voulais continué de le voir, il fallait que je mette mes sentiments de côté, c'est pas si simple mais c'est une des seules, voire la seule solution. Mais à cet instant présent les sentiments étaient plus forts que tout, le désir de l'autre était plus qu'intense, c'était dans ces moments ou des paroles parasites pouvaient plomber l'ambiance en seulement quelques secondes. Lorsque nos Tee Shirt ont volé, une seule chose comptait maintenant, c'était de prendre le plus de plaisir possible. Mais c'était Lando qui avait retourné la situation en me faisant passé sous lui, une position que j'adorai, ces mains sur mon corps me faisait litérallement fondre de plaisir, certes, c'était son métier, mais on pouvait dire qu'il était très doué pour ce genre de chose. Je soupirai à chaque fois que sa main se déplacer quelque part, mais le sumum, c'était quand il avait glissé sa main sous mon jean, tous les muscles de mon dos c'était contracté en même temps. En vrai il n'avait même pas besoin de me demander ce que je préférais, il le savait pertinement.

Après ces quelques paroles, que je conaissais avant même qu'il n'est commencé à me repondre, je ne perdît pas mon sang froid. C'est à ce moment là que je me souvenais de la première fois où j'avais vu Lando, c'était dans un bar, il était accoudé au bar et je m'étais approché de lui, on avait un peu discuter, au moment de partir ensemble, il m'avait juste fait comprendre qui hje voulais coucher avec lui, il fallait payer. J'étais rester un peu con sur le coup, mais on s'y habitue assez vite. Les premières fois étaient plutôt difficiles, car il est vrai que je m'attache beaucoup trop facilement au gens, dès le début il m'avait faire comprendre que si on se voyait s'était uniquement pour le sexe, j'ai eu du mal à s'assimiler, mais maintenant ça va mieux. "Tu n'as pas besoin de me demander ce que je préfère, tu dois le savoir à force". Sa main sous mon caleçon, c'était absolument divin, il savait ce qu'il me faisait craquer et il en profitait.Nos embrassades ne cessairent pas pour autant, une fois un de nos nombreux baisers achevé, je plongea mon regard dans le siens, ces yeux étaitent magnifique, un sourrire au coin des lèvres, en posant moin index sur ses lèvres encore toute humide de notre dernier baiser, je lui décrocha ces quelques paroles "Si tu pouvais descendre un tout petit peu plus bas, ce serai le pied"

J'avais essayé de trouver une manière plutôt agréable de lui faire comprendre qu'une fellation serai parfaite à cet instant venu. En même comme il le disais lui même, je payais quand même assez cher pour qu'il réponde à mes désirs, même si là dedans, l'argent n'était qu'un détail pour moi, je paierai tout l'or du monde pour être en sa compagnie, c'était un des meilleurs, non même le meilleur partenaire sexuel que je n'ai jamais eu. En attendant, je continuais à soupirer de plaisirs, croulant sous ses majestieuses caresses.

Me voilà sur ce lit, payer pour donner du plaisir à cet home que je ne connaissais que trop bien, Val était l’un de ceux qui faisait appel régulièrement à mes services. Mais avec lui c’était différent de certains, je ne savais pas trop le pourquoi de la chose mais c’était ainsi, je ne l’aimais pas du moins amoureusement parlant, mais j’avais pour lui énormément de respect ce qui faisait que je pouvais parfois rester un peu plus pour parler avec sans me soucier du reste. Je le caressais du bout des doigts avant de faire venir une de mes mains à l’intérieur de son jean caressant l’objet du désir lentement tout en lui demandant ce qu’il voulait, je vins à sourire de sa première remarque avant de venir l’embrasser mélangeant nos langue pour un duel ou personne ne pouvait perdre. Soudain il reprit la parole, je levais le regard vers lui avant de venir déposer un nouveau baiser sur ses lèvres puis lentement, je laissais mes lèvres parcourir son corps avant de me redresser une nouvelle fois, le regardant.

Je souriais légèrement, peut-être voire surement de satisfaction car je savais ce que je faisais, je savais comment lui donner ce plaisir qu’il aimait tant, c’était si simple je retirais lentement sa ceinture avant de déboutonner son pantalon, de le faire glisser le long de ses jambes pour finir par rejoindre nos deux t-shirts sur le sol puis vint au tour de son dessous laissant apparaitre son objet du désir. Je me penchais une nouvelle fois vers lui avant de faire glisser ma langue dessus puis ma bouche vint à rejoindre la langue dans des mouvements lents et profonds. C’était ce qu’il voulait et il payait pour ça donc il allait en avoir pour son argent. Val était quelqu’un de simple du moins avec moi c’était comme ça. Après en dehors, je ne le connaissais pas vraiment, je ne savais pas trop ce qu’il était, peut-être qu’un jour, je le saurais. Je continuais ma ‘’dégustation’’, accélérant le mouvement tout en venant le caresser et jouant avec ma langue pour lui donner le plus de plaisir.

Je me redressais vers lui laissant un moment mon regard sur lui avant de reprendre l’activité précédente. Je ne me souvenais même pas le nombre de fois où j’avais été payé rien que pour faire cela, c’était devenu un geste naturel un peu comme une secrétaire qui venait à écrire sur une machine ou un ordinateur. Je ne me faisais pas de soucis sur le plaisir que je lui procurais ses râles de plaisir en disaient beaucoup. Une de mes mains se posa sur son bas ventre tout en continuant les mouvements avec toujours un peu plus de rapidité avant d’y mettre fin pour venir l’embrasser avant de reprendre ma descente…