C'est comme ci ma vie commençait enfin ! [Pv Johnou] [Chaud bouillant !]

Je courais partout dans mon appartement, pour vérifier le moindre détails. Je voulais impérativement que tout soit en ordre. Cette journée, ou plutôt, les instants qui vont suivre, vont, je l'espère, changer ma vie. Je m'arrêta un instant devant le miroir. J'observais mon reflet dans celui-ci, un petit sourire aux lèvres. Ma mère serait si fière de moi, si elle me voyait ainsi, toute émoustillée et impatiente. Bien évidemment, j'attendais la venue de John, qui allait arriver d'une minute à l'autre. Je lui avais demandé de venir chez moi aujourd'hui, car, petit 1, j'avais furieusement envie de le voir, et, petit 2, j'avais une énorme surprise pour lui, dont il ne se doutait pas du tout. Je me sentais nerveuse, les mains moites.

Ca faisait déjà quelques semaines maintenant, que je file le parfait amour avec John. Et j'insiste bien sur le parfait, car il l'est. En l'espace de ces quelques semaines, j'ai pu enfin imaginer le reste de ma vie. Car oui, je voulais le passer avec lui. Une femme amoureuse peut changer la face du monde, ça c'est vrai. Je me sentais forte et invincible, prête à affronter toutes les épreuves de la vie. Rien ne me faisait peur, à part perdre John. Cela serait la pire des choses.... Dans ma tête, tout se remuait. Tous mes rêves de petites filles, de jeunes femmes. Je n'ai que 24 ans, et déjà, cette envie immense de m'engager. A chaque fois que je vois John, mon coeur s'emballe à un rythme fou. Je me sens pousser des ailes à ses côtés. Je ressens le besoin constant de le garder près de moi, à chaque seconde. D'où ma surprise... J'appréhendais tout de même sa réaction. Même si je le sais, je le sens au plus profond de moi même, qu'il m'aime d'un amour fort et sincère, que rien ne pourra détruire.

C'est dingue, vraiment. A ce moment précis, mes hormones se bousculent en moi-même. Tout, tout se remue. J'allais toutes les 5 minutes aux toilettes. Car oui, quand je suis nerveuse moi, j'ai besoin d'aller aux toilettes très souvent... Ma vie s'est mêlée à celle de John. Il est la plus belle chose qu'il me soit arrivée, depuis des années. Plus rien ne pouvait à présent le remplacer, sans lui, mon coeur est horriblement vide, ma vie dénuée de sens. Mon front devenait chaud. Les hormones je vous dis, les hormones ! Enfin, c'est ce que m'a dis ma gynécologue hier. Manifestement, je suis en pleine "explosion d'hormones en ce moment". Une envie de bébé et de materner sans doute... Enfin non, je ne vais pas faire peur à mon petit John d'amour, non non. Avançons pas à pas. Même si, j'ai tellement envie d'aller vite, à cent à l'heure, de franchir toutes les étapes de la vie avec lui. Je regardais frénétiquement l'heure. Ca y est. Il ne devrait plus tarder. Je me sens prête. Je le suis. Je l'aime. Je l'aime plus que tout.

Ce jour là, j'étais dans une grande forme. Depuis quelque temps, mon quotidien avait radicalement changé. Depuis Millie avait dire. Bien que les fêtes et la fraternité était toujours là, cette jeune femme avait su se faire une grande place dans ma vie. Le lendemain de cette petite fête sur North Avenue, je l'avais ramené..Et j'étais retourné la voir. Peu à peu, ce cinéma était devenu quotidien. Quel changement pour un homme qui n'avait jamais que des aventures d'une nuit ! Mais elle, elle était spéciale. A vrai dire, elle me calmait, me détendais. C'était un peu ma dose d'air pure, mon calme dans la tempête. Je pouvais passer des heures à la prendre dans mes bras, à écouter les battements de son cœur.

J'étais en train de jouer un morceau à la gratte quand mon téléphone avait sonné. La petite déception que j'avais eu en lâchant le corps de ma demi-caisse pour pouvoir répondre avait vite été remplacé par un irrésistible bonheur en entendant la voix de Millie. Elle m'avais demandé si je ne pouvais pas venir. Quelque chose dans sa voix trahissait son bonheur, mais peut être aussi une pointe d'excitation et de stress.

Alors j'avais débranché l'ampli, certainement au plus grand bonheur de mes voisins. J'étais passé par la salle de bain vérifier rapidement ma coiffure. J'avais pris mon porte feuille, mes clés, et puis j'étais sortie. La route était assez courte pour aller jusque chez elle. L'espace de quelque minute.

J'avais alors garé le coupé sport dans l'allée qui faisait face à la maison de ma princesse. Je descendit doucement, et marcha vers la porte. J'avais hâte de la voir, et de la sentir prêt de moi. C'était un peu devenue ma drogue. Plus forte que l'excitation d'une nouvelle aventure chaque nuit, plus irrésistible que toutes ses femmes, et plus essentiel que tout. J'avançais dans l'allée, jusqu'à venir frapper la porte avec légèreté, tout en sifflant l'air si sucrée de « What a wonderfull world ». J'attendais sagement que ma princesse arrive, pour m'ouvrir, avant de lui déposer de tendre baiser sur des lèvres que ma bouche réclamait.

La sonnette de la porte d'entrée retentit. Je fis volte-face, un grand sourire aux lèvres. John, enfin lui. Les derniers mois passés avec lui avaient été merveilleux. J'espère que ma nouvelle le ravira. Une dernier coup d'oeil vers la glace. Un dernier pincement de lèvres pour bien étaler mon rouge à lèvre. Je ne voulais pas le faire plus attendre. Je sautilla joyeusement jusqu'à la porte, puis je l'ouvris, délicatement. Mon John, mon Johnou ! Mon coeur s'emballait déjà. Je m'adossa à la porte, en me mordant la lèvre, avec un petit sourire enjôleur. Je pense que la plupart des filles du monde entier envie ma place. Déjà que John est un garçon adorable, doux, romantique, intelligent et drôle, il a un de ces corps... D'ailleurs, notre première fois restera à jamais gravée dans ma mémoire. A travers son t-shirt gris chiné, parfaitement taillé, je réussissais à deviner ses courbes, ses muscles, ses abdos absolument délicieux, appétissants, que j'aimerai tellement manger, là, tout de suite. J'en devenais légèrement rouge ; j'avais chaud d'un coup ! Je ne le laissa pas plus longtemps sur le pas de la porte, et je l'attira vers moi, à l'intérieure de ma jolie demeure. La porte close, j'étais enfin seule, et face à mon prince charmant. Je l'avais tellement attendu.

Je posa mes mains sur son visage, caressant ses joues si douces, et si infantiles. Il avait vraiment une bouille de petite garçon sage. Je l'aime, je l'aime tellement. Depuis notre rencontre, je suis totalement métamorphosée. Plus apaisée, encore plus agréable, une vraie amoureuse. Aucunes disputes, aucunes incompréhensions, tout est vraiment parfait avec John. J'observais ses petites perles brillantes, qui étaient ses yeux, puis mon regard se posa sur ses lèvres. Si sucrées, si merveilleuses. Je posa enfin mes lèvres sur les siennes. Je l'embrassa tendrement, mais assez fougueusement tout de même. Je ne pouvais contenir mes ardeurs. Je ferma quelques instants mes yeux, puis je les rouvrit, tout en décollant délicatement nos lèvres. Je lui souria, lui susurrant un "je t'aime" à l'oreille. Ma voix était pleine d'amour. Je l'emmena avec moi, à travers la pièce, pour nous assoir sur le canapé. J'avais bien l'intention de lui annoncer ma nouvelle. Mais qu'allait-il répondre ? Comment allait-il réagir ? Etait-ce trop tôt ? Pour moi non, quand je suis amoureuse, je fais les choses à fond. Et puis, j'ai 24 ans maintenant. Je suis une grande fille. Je fais mes propres choix. Et je tiens à construire ma vie comme je l'entends. Et John, fait, et fera partie de ma vie.

" John... Ecoute, j'avais quelque chose à te dire, ou plutôt, à te demander... Ca fait déjà quelques temps qu'on est ensemble, et tout va bien, dans le meilleur des mondes. On s'entend très bien, et je le sais, je le ressens, que tu es le bon, et que je veux continuer à vivre ma vie avec toi à mes côtés. Donc c'est pour ça que.... Enfin, tu n'es pas obligé de dire oui évidemment mais.... Je voulais savoir si.... Tu voulais venir, ici, emménager avec moi pour qu'on vive, notre vie à deux... ? "

Je me sentais plus nerveuse qu'il y a quelques minutes. Je tenais tendrement sa main dans les miennes, mes yeux plongés dans les siens.

Dés qu'elle avait ouvert la porte, elle avait posé ces douces mains sur mon visage. Tendrement, je l'avais embrassé, alors que ma main s'aventurer doucement dans son dos. Je ne pouvais détacher mes yeux des siens. Ils représentaient depuis notre rencontre mon trésor le plus précieux. Comme souvent, elle avait finis par fermer ces yeux, ce qui lui donnait un air rêveuse que j'adorais. Doucement, nos lèvres c'était séparé. Ma main glissa une dernière fois dans son dos, avant de rejoindre doucement la sienne.

Elle m'avait alors glissé un « je t'aime » au creux de l'oreille. Sa voix était sincère. J'adorais toutes ses petites attentions. Je la trouvait mignonne a travers toutes ces attentions. Je m'étais avancé doucement pour lui soufflé quelque tour.

« Moi aussi je t'aime princesse. »

J'avais doucement déposer un baiser sur ces lèvres, puis sur son front. Je la sentait étrangement tendus. C'était étrange. J'arrivais à ressentir ce qu'elle sentait. Son bonheur m'étais cher. Pour moi, c'était la première fois que j'éprouvais de telle sensation. Avec elle au creux de mes bras, je me sentais si bien. Comme si, jusqu'au jour de notre rencontre, elle avais manqué à ma vie, comme si elle était la clé de mon bonheur.

Doucement, je l'avais suivis jusqu'au salon. Elle s'était assis, et je m'étais a ses cotés, ne ratant d'admirer ses yeux, une fois de plus. Elle semblait stressé, et étrangement sérieuse aujourd'hui. Millie avait refermé ses mains sur la mienne. J'écoutais sa voix, hésitante et timide. Et sa question était arrivé. Habiter ici ? Avec elle ? Juste nous deux ? Bien sûr que c'était oui. Certes, c'était nouveau pour moi. Vivre à deux c'était aller loin ensemble. Plus loin que je ne l'avais jamais été. Mais Millie était spéciale. Et avec elle, j'étais prêt à aller loin. Plus loin que tout.

Je la fixer dans le regard, souriant doucement. Sa demande était si mignonne. J'avais envie de la rassuré, de lui faire comprendre que je le voulais moi aussi.

Je m'étais approché doucement, avec délicatesse, de son beau visage. Mon regard ne quittait plus ses yeux. Ma main vint doucement couvrir celle de ma princesse.

« Oui. Je t'aime Millie. Je veux pourvoir vivre avec toi. Etre heureux avec toi. Alors oui . »

Alors je lui avais déposé un baiser, léger et fugace, avant de me reculer doucement, toujours en la regardant dans les yeux.

« Je veux te rendre heureuse Millie. »

Enfin. J'étais tellement heureuse ! Notre vie à deux allait enfin pouvoir commencer. Se réveiller auprès de son chéri, s'endormir dans ses bras. Pour moi, ça a toujours été un rêve, qui va bientôt devenir réalité. Je me blotisais dans les bras rassurants et forts de mon John d'amour. Je l'aimais tellement, ohlala ! Je n'en revenais même pas d'aimer quelqu'un autant. Depuis cette soirée, le jour où on s'est rencontré, à la bibliothèque, on ne se quittait plus. John était devenu un réel coup de coeur, une personne sans laquelle je ne pouvais plus vivre, et plus me passer. Nous allions enfin goûter au quotidien d'un couple, à la vie à deux, au meilleur comme au pire, c'est vraiment une nouvelle vie qui commençait pour moi.

Il y a quelques temps encore, je ne pensais pas pouvoir trouver quelqu'un comme lui. Je m'imaginais, seule, avec des histoires d'un soir. Ma vie d'avant, ne me manquait pas du tout, finalement. Certes, j'étais jeune, et j'ai pu vivre des expériences que peut être je n'aurais pas fais maintenant, ou plus tard. Mais il était venu le temps pour moi, de me poser, de me trouver quelqu'un de bien, avec qui je pourrais construire un avenir, une vie, fonder une famille. Et surtout, avec qui je pourrais être heureuse, jusqu'à ma mort. Et tout ça, grâce à John. Malgré les atitudes que mon père a pu avoir, j'ai toujours voulu être comme mes parents. Un couple stable et solide, toujours amoureux comme au premier jour, même après 25 ans de mariage. Depuis petite évidemment, avec les livres, les contes, les films, j'ai toujours eu à l'idée cet idéal : je fais mes études, je fais un travail qui me plait, je trouve un garçon parfait, on emmenage ensemble, on se marie, et on a des enfants. Le schéma presque typique. Et bizarrement, je ne voulais pas déroger à la règle. A 24 ans, je me devais de me poser, et de commencer cette vie. On peut se dire que 24 ans c'est tôt mais, selon moi, la vie est courte, alors, autant se lancer.

Je regardais, je dirais même, j'admirais les beaux yeux de mon petit John. J'étais tellement rassurée de sa réponse, comme, délestée d'une pression. J'entourra son visage des mes mains, puis une d'entre elles caressa tendrement sa joue, si douce. Mes lèvres vinrent embrasser son nez, puis sa joue, ses lèvres, puis dans son cou. Je m'attarda dans son cou, d'ailleurs, glissant lentement ma langue sur sa peau, suçotant chaque parcelle de sa peau, m'enivrant de son odeur, de son parfum. Je ferma durant quelques instants mes yeux, puis je les rouvris. Je sentais comme une chaleur, une sensation de bien-être au fond de moi. Mon visage revint en face du siens, et je me mordilla la lèvre.

" On devrait peut être... Ramener toutes tes affaires ici, pour que tu te sentes comme chez toi mon chéri ! Mais... "

Je l'embrassa fougueusement, sans finir ma phrase, prolongeant à chaque fois un peu plus le baiser, pour qu'il dure une éternité. J'étais maintenant assise à califourchon face à lui, mes mains glissant sur ses épaules, puis ses bras. J'avais un sourire enjôleur aux lèvres.

" Comment tu fais pour... Être toujours aussi irrésistible, et me donner envie de te croquer à chaque seconde de la journée ?! "

Allez chercher mes affaires. C'était une idée. Mais Millie continuait de jouer de ses lèvres sur mon corps, me poussant à remettre ses formalités à plus tard. Ces mains caressaient mon visage, mon cou et mes bras, alors que sa bouche parcourait ma peau. Je la regardait, la laissant faire. Bientôt, elle bascula pour se retrouver assise à califourchon sur moi. Devant ses yeux brillants de milles feux et ses douces caresses, je ne pouvais rester inactif. Mes lèvres trouvèrent rapidement les siennes, aidés par ma main qui avait guidé son visage jusqu'au mien. Ma bouche se promena ensuite sensuellement sur son cou. Dans son dos, ma main avait entrepris de douce caresse, descendant peu à peu vers le bas de son corps.

Ma deuxième main pris doucement la sienne, s'amusant a jouer avec ses doigts. Mes lèvres continuèrent un doux voyage, suçotant la moindre parcelle de peau du corps de Millie se révélant a mes yeux. Doucement, je lâcha sa main, pour descendre le long de son ventre, caressant doucement son corps. Mes doigts arrivèrent bientôt au niveau de son bas ventre, jouant à l’effleurer, le taquiner avant de descendre doucement se posé sur la cuisse de la jeune femme. Ma main jouait doucement, sur sa cuisse, la caressant avec sensualité, mais m'arrêta de temps à autre. Dans son dos, mon autre main avait continué de descendre, jusqu'à atteindre le bas du dos, et le fessiers de ma princesse.

« Je ne sais pas. Mais moi aussi j'ai envie de te croquer. Peut être qu'on pourrait remettre la déménagement de mes affaires à un peu plus tard ? Je n'arriverais pas a résister à l'envie de te dévorer. »

La dévorer, oui. Il ne se passait plus un instant sans qu'elle ne soit dans mes pensés. Plus un rêve qu'elle n'occupait pas. C'était nouveau pour moi. Et j'avais envie de lui montrer cette passion à travers mes gestes. Mes yeux ne quittait plus ceux de ma princesse.

Mes mains continuaient de jouer chacune sur un terrain différent, se faisant peut à peu plus entreprenant, indiscrète, et insistante. Ma bouche se rapprocha doucement de son oreille, la suçotant au passage.

« Je te trouve délicieuse aujourd'hui..Je crois que mes affaires devront m'attendre.. »

Un sourire au lèvre, je la contempler. J’embrassai ses lèvres, avant de brusquement la resserrait contre moi. Je mordillais ces lèvres. Mes mains se faisaient plus intense.

Tellement comblée et épanouie dans les mains d'un homme. De mon homme. Ses caresses plus insistantes faisaient monter la température. J'avais chaud tout d'un coup. C'est un don qu'avait John, faire monter la température ambiante de plusieurs degrés d'un coup. Plus le temps passait, les minutes, les jours, les semaines, les mois, plus mes envies avec John devenaient concrètes dans ma tête. J'étais si jeune, et pourtant déjà si déterminée. Ma vie devait se passer avec lui, dans ses bras pour toujours. On n'avait pas encore vraiment parler de l'avenir, de ce qu'on allait faire. A vrai dire, on était tellement heureux que finalement, notre avenir était évident. Avec cet emménagement, il sera à présent toujours avec moi, car je ne peux plus me passer de lui. Les moments où il va en cours, c'est toujours un petit déchirement au coeur, et une petite torture au fond de moi-même. J'attends toujours impatiemment ce moment, où la sonnerie retentit, et que j'aurai enfin mon John pour moi toute seule. Mais bon, je lui laissais tout de même des moments pour étudier, je n'allais quand même pas lui compromettre son avenir à mon petit chéri.

Je pensais soudain à mes parents, pendant leur jeunesse. Ma maman m'avait souvent raconté leur rencontre, leur premier baiser, leurs joies, leurs peines. Ils étaient si heureux, plein de vie. Ils s'étaient rencontré au lycée, et s'étaient mariés très tôt, à 20 ans. Enfin, tôt pour nous mais, à l'époque, c'était presque normal de se marier à cet âge. Quand je repense à eux, j'ai toujours cette image de couple heureux, soudé et éternellement amoureux.

Je revins à mes esprits, et je regarda mon John droit dans les yeux. Je pouvais y lire tellement d'amour et de passion. Lorsqu'il commençait à me titiller comme ça, je ne pouvais plus résister, ni m'arrêter. Je ne pouvais résister à l'envie de retirer son t-shirt, qui était très beau, je l'avoue, mais John était beaucoup mieux sans. Je passa alors délicatement mes mains entre le tissu et sa peau, qui était soit dit en passant, bouillante, et je retira lentement ce fameux t-shirt. Je peux dire que, mon amoureux a le corps le plus parfait qui puisse exister, un vrai dieu grec. Comment résister ? J'avais envie d'un long corps à corps passionné, là, sur ce canapé. La chambre était beaucoup trop éloignée pour moi. Mes doigts glissaient le long de son torse tendit que mes lèvres, elles, s'occupaient des siennes, en les embrassant, encore et encore, de manière langoureuse. Mes mains s'aventuraient, un peu partout, pour finir sur la boucle de ceinture, qui fut vite enlevée d'ailleurs, puis sur la fermeture de son jeans. Mon coeur s'emballait comme à chaque fois, mais il y avait malgré tout, ce petit stress de la première fois en moins.

Lorsque Millie laissa ses mains aller et venir sur mon corps, je la laissa faire. Je ne pouvais détacher mon regard de ses yeux. Mes lèvres embrassèrent les siennes, avant de descendre suçoter son cou. Sa peau était un délice. Je l'aida un peu lorsqu'elle m'ôta mon maillot. J'aimais sentir ses mains le long de mon corps. Doucement, elle les descendis vers mon ma ceinture qui céda rapidement, et la jeune femme dirigea ses mains vers la fermeture de mon jean, qui s'ouvrit. Je laissa glisser le pantalon au sol.

Je me retrouvais vêtu d'un simple caleçon, ne cachant plus mon excitation, alors que la jeune femme se trouvait à califourchon sur moi, vêtu de sa robe à fleur. Cet habit lui donnait un air malicieusement sage et innocent. Je remontait doucement sa robe, glissant ma main le long de sa peau. Je ralentit mon mouvement lorsque j’approchai de la zone sensible de ma princesse. Ma deuxième main remonta doucement le bas de dos de la jeune femme. J’écartai tendrement les cheveux qui couvrait ces épaules. Mes lèvres quittèrent doucement les siennes pour s'aventurer dans son cou. Puis, suçotant chaque parcelle de sa peau, je m'aventurai doucement vers sa poitrine, encore couverte par le tissu de sa robe. Un fois atteint son téton, que je suçota au travers du tissus, je retourna pour un baiser langoureux sur ses lèvres.

Doucement, ma main fit tomber les bretelles qui retenait l'étoffe couvrant sa peau. Sa robe tombait doucement, tandis que ma deuxième main s'était glissé sous le bas de son habit, effleurant et caressant le morceau de tissu qui protégeait encore son intimité. Par instant, j'arrêtais mon petit jeu, voulant la faire languir de plaisir.

Ma bouche se dirigea vers son oreille.

« Ta robe te donne pourtant un air si sage. »

Je luis avait mordillait l'oreille, avant de revenir vers ses lèvres, un sourire moqueur sur le visage.

John me faisait monter haut, très haut. La douceur et l'ardeur de ses mains pouvaient me faire grimper au rideau. Chaque moment avec lui était inoubliable, grandiose. Je ne voulais plus jamais le voir partir. Mais au fond de moi même, j'avais peur, des accidents, peur qu'un jour il me quitte, qu'il parte, loin d'ici. On ne sait jamais de quoi est fait le lendemain. Je voulais profiter au maximum, même un peu trop vite. Je voulais tout tout de suite. Sans lui, ma vie n'avait plus aucun sens. Elle était fade, sans goût, sans âme.

Parfois dans ma tête, j'aimais imaginer notre vie plus tard, comment serait-elle. J'essayais sans cesse de me faire belle, d'être attirante. Je voulais sans cesse attirer son oeil, son attention, le rendre fier d'être avec moi. Pour que jamais il n'ait tout simplement l'idée ou l'envie d'aller voir ailleurs. Ce moment était intense, vraiment intense. Je sentais ses mains glisser sur m, caresser mes courbes. Mes yeux se fermaient alors frénétiquement, ma tête bascula légèrement en arrière, la chaleur m'envahissant. n peut le dire, j'étais incroyablement émoustillée, peut être encore davantage que les autres fois. Ce n'était évidemment pas notre première fois mais, à chaque fois, c'était différent, et vraiment qu'est-ce que c'est bon ! Il était à présent en boxer, et moi, à moitié nu. J'aimais faire languir John, comme pour faire durer le moment plus longtemps, mais cette fois-ci, j'étais follement impatiente, et je ne voulais pas attendre, du tout ! Je me releva alors très doucement, et me débarrassa de tous les vêtements superflus, tels que robe, culotte et soutien-gorge. J'étais à présent nue devant John, moi, qui était si timide avant, et si dévergondée maintenant. Les étudiants de médecine ont-ils comme pouvoir de faire cet effet ? En tout cas, ça marchait très bien sur moi. Je me glissa à nouveau sur lui, en posa mes doigts sur son visage.

"Et si je te faisais réviser mon petit coeur ? Anatomie humaine aujourd'hui.... Mmh... Le nez... La bouche.... Le cou...."

Mes mains descendaient lentement sur chaque parcelle de son corps, avant de citer son nom. Je ne cessais de lui sourire, d'un air amusé. D'ailleurs, ça avait l'air de l'amuser aussi ! Ma voix était basse, douce, et suave. Je voulais lui donner encore plus envie en même temps.

"... Le ventre... Le nombril... Mais oh, qu'est-ce que c'est que ça alors ?"

J'émis un petit rire, arrivant au niveau de son boxer. Je passa ma main sur cette petite bosse que je chatouilla. Je pris plaisir à doucement retirer son boxer, avec une certaine gourmandise.

"Mmh, je ne sais pas ce que c'est, ni à quoi ça sert mais, c'est drôlement appétissant !"

J'approcha mon visage du sien, pour venir y déposer des baisers langoureux sur ses lèvres, tout en effleurant du bout des doigts la partie intime de mon John.

Millie était à moitié nue sur moi, la robe remonté jusqu'au hanche et le décolleté découvrant son soutient gorge. Elle se leva doucement pour fait tomber complètement sa robe. Puis, elle fit glissait son soutient gorge, et finit par faire tomber le dernier tissus qui protégeait son intimité de mon regard. Elle était si magnifique. Ma princesse était sublime. Depuis notre première nuit, ses joue avait cessé de se couvrir de rouge sous la timidité. Le pourpre avait même était remplacé par un petit sourire malicieux. Elle revint vers moi, se posant de nouveau sur mes genou, à califourchon.

Je l'embrassa tendrement. Ma main ne pu s'empêchait d'aller se poser sur le fessier de ma douce. Doucement, j’effleurais et je caressais ses forme. Je ne pouvais m'empêcher de jouer avec son corps. Je me laissais aller à des penser peu catholiques.

Millie posa ses mains sur mon visage. Doucement, elle commença un jeu sensuel. Des révisions comme celle-là, j'aimerais en avoir tout les jours. Sa voix suave et chaude était particulièrement sexy. Je souriais sous son petit jeu. Elle descendait doucement sur mon corps. Le cou, le torse...Le nombril. Puis, enfin, sa main se posa sur la bosse que mon boxer avait de plus en plus de mal à cacher.

Un rire s'échappa de mes lèvres en même temps que le siens. Volontairement, elle me chatouillait, ce qui n'avait comme conséquence que de me rendre plus envieux. Je la désirais. Ma princesse était magnifique, et d'humeur très joueuse ce soir. Elle retira mon boxer, qui révéla mon intimité à ces yeux. Intimité gonflée par l'envie si je puis dire. Elle avait changer du tout au tout depuis notre première nuit. De la fille un peu timide, elle était devenu un peu plus entreprenante, et était aujourd'hui une petite coquine.

Ses nouvelles paroles me firent sourire. Mon rire fut clos par ces lèvres qui vinrent retrouvé les miennes. Un baiser langoureux. Sensuel. De sa main, elle continué de jouer avec ma partie intime. De la chatouiller. Ma main à moi glissait dans son dos, jouant tantôt de ses cheveux, tantôt sur son fessier. Ma deuxième main s'amusait elle de son téton. Le caressant, avant de le pincer. Puis, elle descendit vers l’aine de ma princesse. Doucement, j’entrepris de caresser cette zone si sensible.

« J'aime ce genre de révision. Par contre, j'ai oublié à quoi ça peu servir...Une idée ma princesse? »

John était rieur et coquin. Le regarde qu'il posait sur moi, ce regard gourmand et envieux, me faisait fondre. J'étais soumise à lui, soumise à ses caresses. Totalement sous son emprise et son contrôle. Il était comme mon empire, ma plus belle conquête, ma plus belle étoile, mon plus beau trésor. Nus l'un contre l'autre, je frémissais. Le contact avec son corps était intense. Nous deux, c'était tout simplement intense et incroyable. Entre nous, il y avait une alchimie palpable. Un courant électrique qui passait, qui nous emportait. Je mordillais ma lèvre, assez sensuellement. En étant assise de cette façon sur lui, mon visage était légèrement au dessus du siens. Je déposa des baisers sont son front, et pris une mine amusée et étonnée, en entendant sa question.

"Tu as oublié son utilité ? Bizarre... Pourtant, on s'est déjà beaucoup amusé avec... Laisse moi faire et te rafraichir la mémoire... "

J'étais très entreprenant, c'est vrai. Nos relations intimes m'avaient changé. J'étais devenue une vraie tigresse au lit, si je peux dire ça comme ça... Nos ébats sont chauds, très chauds. A chaque fois, la même envie, le même plaisir, qui monte crescendo. On sait s'écouter l'un l'autre, et écouter nos corps. Je pense que c'est cela, qui fait la force de notre relation. On prend soin l'un de l'autre. On se protège mutuellement.

Ma tête s'abaissa un peu, pour pouvoir atteindre ses lèvres, ses lèvres sucrées. Je l'embrassa d'une manière fougueuse et sensuelle. Nos lèvres s'entremêlaient encore et encore, indéfiniment. Ses mains glissaient sur mes seins, et les miennes, elles glissaient sur son torse. Nous étions bien, heureux, dans notre bulle, dans notre monde. Mais d'un coup, j'avais envie de passer à la vitesse supérieure. Je le regarda, d'un air coquin, avec ma tête remplie d'idées coquines. Je releva un petit peu mon bassin, et prit très doucement sa partie intime dans une de mes mains, pour la mettre en contact avec la mienne, pour que l'on puisse ne faire plus qu'un. Le geste se fit délicatement et doucement. Une fois rentrée, je ferma les yeux durant quelques secondes, laissant échapper de ma bouche un léger gémissement. Je poussa délicatement John vers l'arrière, pour que son dos soit contre le dossier du canapé, puis je me mis à faire des mouvements verticaux, assez rapides pour un début. Le bruit de mon bassin contre le siens était doux. Mes deux mains étaient posées sur son torse, mon visage face au siens. Je gémissais, ce qui était inévitable, car le plaisir était tellement immense que, comment se retenir ? J’accélérais, puis ralentissais, pour préserver le désir de mon amoureux. Je voyais son visage qui se détendait, un sourire au coin des lèvres. Ce visage signifiait qu'il aimait beaucoup cela. En moi, tellement d'émotions se bousculaient. Pendant que je l'embrassais langoureusement, dans mon esprit, je ne pensais qu'à lui, qu'à nous deux. Mes mouvements de bassin étaient rythmés et sensuels. Une de mes mains s'enroula dans mes cheveux, comme pour m'aider à surmonter cette bouffée de plaisir qui m'envahissait. J'étais totalement submergée. Je me colla un peu plus à long, commençant à intensifier une ultime fois mes vas-et-viens. Mon visage se réfugiait dans le cou de John, léchouillant sa peau, au bord de l'orgasme.

» Chaud cacaooo ! PV :: Adam
» Enfin on se parle (Pv: Lando)
» aidan&jiliane || comme avant...
» Un matin comme un autres || Elias
» Observez-moi de haut en bas, vous n'en verrez pas deux comme ça !

C'est comme ci ma vie commençait enfin ! [Pv Johnou] [Chaud bouillant !]

C'est comme ci ma vie commençait enfin ! [Pv Johnou] [Chaud bouillant !]

Sujets similaires

Sujets similaires